Seconde guerre sino-japonaise

 Empire du Grand Japon  

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4 Septembre 1936, Palais impérial, Tokyo, Japon

 Dans le luxueux palais impérial, l'Empereur Hirohito ainsi que les plus brillants généraux s'étaient réunis en urgence afin d'y tenir les prochaines résolutions de guerre, ce fut Sugiyama une des têtes pensantes de l'armée qui pris la parole le premier:
"-Messieurs, un E3A vient de survoler la Clique de Guangxi, d'importants dispositifs ont été mis en place par la Chine, en effet ils ont convergé leurs troupes et leurs armements sur une ligne de front étendu, ceux ci s'enterre, nous pouvons plus débarquer à Guangxi c'est trop risqué
Hirohito pris la parole: - que suggérez vous ?
- le Dragon chinois est sorti de sa caverne, les autres territoires sont totalement vulnérables, nous pouvons facilement prendre Shanghai et Nankin et mettre fin à cette guerre en seulement quelques opérations. Abandonnons nos objectifs pour la Clique, concentrons nous sur la conquête de la Chine"
L'amiral Yamamoto sortit de l'ombre et continua le développement de Sugiyama, "Mon Empereur, nos forces aéronavales nous confèrent une hégémonie certaine sur la mer, les chinois n'ont quant à eux qu'une aviation obsolète et une marine inexistante, si nous mettons en valeur nos forces maritimes et aériennes comme l'a fait Togo le "Nelson de l'Orient" avant nous, nous gagnerons cette guerre, afin de gérer cette guerre il faut gagner le respect des chinois, et mettre en place des gouvernement chinois, alors l'Asie Orientale et le Japon aura son salut, laissez nos soldats suivre la voix impériale, pas de massacres ni de meurtres juste une libération afin d'assouvir les besoins de notre nation.
- Mettez en action vos plans, Hainan nous suffit, c'est la Chine que nous allons conquérir et non la Clique, ce conflit vient de se généraliser, nous gagnerons cette seconde guerre sino-japonaise. Vive le Japon, vive l'Empire, vive moi !

Septembre 1936, Bataille de Shanghai

Occupé dans la création d'un front inutile, les chinois ont délaissé Shanghai, le Japon possède d'un atout considérable dans la région, en effet après la guerre de Shanghai, le Japon a obtenu de la Chine la démilitarisation de la ville de Shanghai, les chinois n'y entretiennent qu'une vulgaire force de police, la concession japonaise étant elle surarmée, quelle fut la surprise chinois quand le Japon attaqua Shanghai, dans un premier temps, les troupes japonaises de Shanghai constitué de 30 000 soldats sortirent de la concession japonaise et engagea instinctivement le combat avec les policiers de la ville.
C'est alors que l'aviation japonaise se montra et commença à attaquer les cibles chinoises, l'aviation chinoise basé non loin, arriva et livra une bataille aérienne, supérieure en nombre l'aviation chinoise abattit dans un premier temps 50 intercepteurs et 20 bombardiers japonais, malgré la supériorité numérique l'aviation chinoise souffrait de la vieillesse des modèles utilisés tandis que les japonais possédaient des avions plus récents facilement remplaçable le Japon effaça très vite le sucés aérien chinois et abattit 75 avions soit les 3/4 de l'aviation chinoise.

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Entre temps grâce au soutien aérien, les troupes japonaises réussirent à chasser les policiers hors de la ville, ceux-ci se replièrent vers la périphérie et les villages de pécheurs voisins. Alors que près de 100 000 renforts des quartiers impériaux débarquaient dans la concession, les renforts chinois arrivèrent en nombre, 180 000 volontaires et 20 000 avaient dépêchés en urgence, ceux ci étaient tellement mal équipés qu'ils durent rejoindre les policiers afin de pas se faire écraser par les troupes d'élites de l'Empire du Soleil Levant, les troupes japonais se mirent après avoir sécurisé la ville entière à prendre les villages côtiers tenus par les chinois, de combats très durs eurent lieu dans la ville de Luodian en effet cet emplacement stratégique était l'un des objectifs japonais, les Chinois ne pouvant faire face à un ennemi qui possédait écrasante supériorité en puissance de feu, les chinois abandonnèrent Luodian seulement après une résistance acharné de leur parts, et en laissant un secteur parsemé de mines. Les combats furent tout aussi âpres dans la ville côtière de Baoshan autre point stratégique.

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Finalement après une semaine de combat les plus importants points stratégiques du site de Shanghai était au main des nippons. Ils se mirent à la conquête du Sud de Shanghai, notamment la ville de Danchang, les chinois ayant rassemblés là bas 60 000 miliciens et volontaires. Les nippons ne durent leur salut qu'au 40 brigades de renfort de la Kwantung, en effet l'état major pensait accélérer le dénouement de la bataille en montant les effectifs japonais dans la région. Et ils eurent raison, Danchang tomba ainsi que tout le Sud de la région. Les japonais après avoir pris les principaux point stratégiques durent batailler pour prendre  chaque village côtier, la résistance et la détermination chinoise fit durer les combats pendant plusieurs mois, mais les chinois mal armés ne purent faire face à un ennemie possédant une puissance de feu bien plus supérieure, sans possibilités de renforts du à la dispositions maritime de  Shanghai (pas de marine chinoise) la reddition des dernières troupes chinoises ainsi que le fuite des troupes qui avaient le moyen de rompre l'encerclement nippon sonna la fin de la bataille. Le Japon avait conquis la ville sur l'eau.

Par un soucis de message libérateur c'est le drapeau de la Chine reformé (gouvernement collaborateur) qui remplaça les drapeau du Kuomintang.

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Conséquence: Victoire décisive nippone, grâce à ses atouts stratégiques qui sont l'effet de surprise renforcé par le contexte de démilitarisation de la ville, la proximité des troupes engendré par la possession d'une concession en plein centre de Shanghai ainsi que la supériorité navale et aérienne, les japonais ont réussis à prendre les points stratégiques de la région et ont privé en renfort les troupes chinoises sur place, cette victoire est donc extrêmement avantageuse, car elle est rapide et les effets sont considérable. L'erreur stratégique de la Chine crée une profonde impopularité des différentes formes d'autorité du front uni, aussi la Chine Nationaliste perd une grande partie de son complexe militaro-industriel, les impacts économique seront immenses, et une partie des productions de ravitaillement sont annulés, par les succès japonais la création du gouvernement réformé de Chine dirigé par Whang Jingwei peut se faire sous les meilleures hospices. L'aviation chinoise est par ailleurs décimée.

Pertes Japonaises: 7 brigades de fantassins, 70 avions [50 chasseurs KI-7 - 20 bombardiers G3M].
Pertes chinoises: 30 brigades de conscrits, 10 brigades de miliciens, 75 avions. 30 000 soldats fait prisonniers ou ayant rejoint le nouvel gouvernement collaborateur.

24 septembre, Bataille de Nankin

Depuis la chute de Shanghai, les chinois savent que la prochaine à tomber sera Nankin, c'est ainsi qu'ils évacuèrent la ville, les occidentaux et le gouvernement partirent de la ville déplaçant de facto ainsi la capitale vers une autre ville. Entre temps la défense de la ville est confié à Tang Shengzh, celui-ci établit la conclusion suivante: les troupes fuyant Shanghai en arrivant à Nankin on énormément baissé le moral de la garnison, les désertions sont de plus en plus fréquentes, aucun renforts n'arrivera, Tang doit tenir la ville jusqu’à que l'armée de Guangxi ne revient.

Les japonais eux, aspirent à prendre la ville depuis le début de la guerre, en effet après avoir remporté une large victoire sur l'aviation chinoise à Shanghai le Service aérien de l'armée impériale japonaise commandé par le Major-Général  Naruhiko Higashikuni, profita de la situation pour planifier des bombardements sur les cibles militaires de Nankin, permettant d'entamer le moral chinois.

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C'est donc des troupes sous-entraînés au moral quasi-inexistant, que l'armée impériale forte de 90 brigades de fantassins et de 10 brigades de chars Chi-Ha lança juste après la bataille de Shanghai l'assaut sur Nankin, qu'elle fut la surprise nippone, lorsqu'ils furent violemment repoussés par le Kuomintang, en effet le seigneur de guerre Tang, avait interdit l’évacuation de la ville en pratiquant la technique de la guerre brûles, les villages des alentours avait été incendiés, les bateaux coulés, et les routes bloqués par des barrages de soldats. C'est donc naturellement que les japonais abandonnèrent l'idée d'une entrée massive, 150 000 miliciens défendaient une ville aux accès accidentés. Frustrés le général japonais décida de mettre en oeuvre une percé pour pénétrer la périphérie et mettre ainsi la ville en état de siège. Il lance une large offensive en pince, alors que 40 brigades de fantassins font face aux troupes chinoises et mène des attaques frontales de fixation, un deuxième groupe constitué de 20 brigades d'infanterie, de 6 brigades de char Chi-Ha ainsi que de la brigade du génie de Shanghai contourne et attaque par l'est, le troisième groupe composé du reste de l'armée nippone contourne Nankin par l'ouest.  C'est le deuxième groupe qui parvint à pénétrer les défenses de la ville, prenant de nombreux avant-postes, et obligeant ainsi Tang à dégarnir son front central pour éviter de perdre l'est de la ville, après des combats sans merci, le front central fut percé, et les brigades d'infanteries définirent tant bien que mal un périmètre de sécurité autours de la ville, la division de l'ouest d'une manière d'une autre, pris une dizaine d'avant-postes. Défaits les chinois regagnèrent le centre de la ville. La ville fut ainsi assiégé.

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Le Prince du Japon arrivé alors sur place, proposa un ultimatum à Tang celui d'accepter la reddition de la ville et d’intégrer le gouvernement réorganisé de Chine, aux portes de la villes, ils prononça le discours suivant:

« L'armée japonaise, forte d'un million de soldats, a déjà conquis Shanghai. Nous avons encerclé la ville de Nankin... L'armée japonaise n'accordera aucune grâce à ceux qui offrent une résistance, les traitant avec une extrême sévérité, mais ne causera aucun dommage aux civils ou militaires chinois qui ne manifestent aucune hostilité. Notre désir le plus cher est de préserver la culture de l'Asie Orientale. Si nos troupes continuent de combattre, la guerre à Nankin est inévitable. La culture qui perdure depuis un millénaire sera réduite en cendres et le gouvernement en place depuis dix ans va s'évanouir dans la nature. (...) Ouvrez les portes de Nankin de façon pacifique et obéissez aux instructions suivantes. »

Les militaires ont également lâchés plusieurs prospectus sur la ville, afin que les soldats et les civils connaissent les conditions de reddition, espérant que la bas moral de la garnison et de la population influe sur la décision de Tang, celui-ci refusa.

Finalement, le général Matsui n'ayant pas reçu de réponse positive, ordonna la prise de la ville par la force, ayant déjà fortement pénétré dans la ville, la prise de la ville il continua sur la même offensive. Voyant que ses volontaires déspérés ne tiendraient pas, Tang ordonna la retraite, qui tourna au plus grand chaos, sous la panique, les soldats se rendent pacifiquement, ou attaque des civils chinois afin de prendre leur place et de se fondent dans la masse, d'autres fuient hors de la ville avec Tang et d'autres plus marginaux s'isolent et attaquent les japonais, il fallut une journée entière pour calmer la situation, les japonais reçurent les instructions suivantes:

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« Bravo soldats, vous avez suivis la voix impériale avec succès (...), après Shanghai la ville sur l'eau, c'est maintenant à Nankin la capitale du sud qui est libérée, nous relèverons l'honneur de l'Asie orientale (...). Nous ordonnons à tout soldats, quelques soit ses affectations, de se montrer exemplaires, de ne pas commettre des actes pouvant rabaisser l'honneur de l'empire, les atrocités commis par une personne ou par une communauté seront punis par la mort et la honte éternelle, la ville est prise, aidez les habitant à reconstituer leur patrimoine, reconstituiez la ville en attendant la ville, et tout les peuples d'Asie seront sous notre toit. »

C'est dans un nouveau climat, que les japonais reconstruisirent Nankin et que le gouvernement réformé de Chine s'installa dans capitale du sud, des actes terribles ont été perpétrés par des japonais mais ceux si sont restés isolés, et les commanditaires de ses actes ont été sévèrement punis.

Conséquences: Victoire Japonaise décisive, encore une baisse de l'autorité morale du front-uni particulièrement le Kuomintang, qui perd sa capitale, aussi la mauvais choix stratégique de la Chine a encore des répercussions, la prise bien que difficile, c'est faîte avant l'arrivée de l'armée de Guangxi, les japonais ont donc tout loisirs de se préparer à la défenses de ces villes, les difficultés économiques engendrés par les prises des deux villes sont conséquentes, une ravitaillement inefficace, et un aide étranger réduit. Plusieurs armes ont été capturés, la Chine qui souffre déjà de problème d'armement n'a désormais que l'armée de Guangxi de véritable. Le gouvernement réformé prend la place de la république de Chine petit à petit.
Pertes Japonaises: 10 brigades d'infanteries, 1 brigades de chars Chi-Ha, quelques avions endommagés.
Pertes Chinoises: 50 000 volontaires morts, 30 000 volontaires ayant choisis la reddition ou la désertion, 10 000 prisonniers.

Début octobre 1936, invasion du Shanxi

En raison de la démilitarisation des régions chinoises au nord de la muraille, et de la concentration de l'armée chinoise en Guangxi puis à Shanghai-Nankin, il a été décidé de mettre en place un nouvel gouvernement collaborateur, le Mengjijang qui a pour but de regrouper les territoires de Mongolie intérieure et de raviver la race mongole descendante de Gengis Khan, Demchugdongrub étant un allié du Japon depuis 1935, s'est vu aidé dans sa tache de réunir les mongols, ils est d'ailleurs devenu le chef des tribus mongoles de l'intérieur, il réunit près de 15 000 miliciens et 5 000 cavaliers pour prendre le pouvoir en Mongolie de l'est, la région de Shanxi était divisé entre les seigneurs de guerre locaux et les communistes, ils se font la guerre dès qu'il peuvent.

Dans ce climat d'instabilité, Demchugdongrub espère prendre pied dans cette région aux riches ressources, le Japon et le Mandchoukouo l'aidera pour cette tache, ils ont envoyés 21 000 fantassins, 10 000 cavaliers et 39 000 miliciens, la région de Heibei allié au Japon a vu son armée de 15 000 miliciens renforcé par 15 000 fantassins, évitant ainsi que les contre-attaques chinoises puissent touchés le Manchoukouo.

A l'aide des cavaliers, les troupes coalisés parvinrent en prendre un nombre de villages record, en effet, la révolution mongole étant très populaire, il fut très facile. Les troupes au sol posséder d'un soutien aérien non négligeable des Ki-2 venant de Port-Arthur était employé dans toute la région, les troupes chinoises n'avaient aucun moyen de se débarrasser des raids aériens, les communistes dont la majorité des troupes étaient au Sud, cédèrent après 2 jours d'intenses guérilla, les seigneurs de guerre durent battre en retraite contre les troupes mongoles supérieure en nombre, à l'aube l'armée mongole avait conquis la moitié de Shanxi.

Conséquence: Victoire des états fantoches japonais, même si l'avancé mongole est moindre, et que le Mengijang n'est pas encore installé à Shanxi, la popularité de Demchugdongrub est désormais immense au sein des régions mongoles, et le révolte mongole risque de s'intensifier de plus belle.
Mongolie intérieure: 2 brigades de miliciens
Chine communiste: 1 brigades de milicens, 2 brigades de volontaires
Chine nationaliste: 2 brigades de volontaires
Mandchoukouo: 1 brigades de miliciens

Carte de l'avancé nippone: