[Guerre] Empire Romain d'Orient et Royaume de Géorgie face au Sultanat de Roum. [Victoire orthodoxe]

par **Marin** Dim 19 Mai 2013 - 2:22

╬ საქართველოს სამეფო - Royaume de Géorgie ╬

Vue de Tbilissi.

Tandis que le pays vit un Age d'Or sans précédent dans l'histoire Géorgienne, la Reine Tamar la Grande, continu son objectif d'expansion territorial et de protection du Christianisme.
C'est pourquoi il est évident que le Sultanat de Roum, ennemi direct du Royaume devait être attaqué au plus vite pour avorté tout risque d'attaque ultérieur.
En premier lieu c'est une armée de 8000 hommes qui est levé, principalement sur le domaine royal, répartie à peu près équitablement entre les trois corps d'armée principaux, a savoir les archers, les cavaliers et les soldats.
A l'aube du mois de Mai, les préparatifs étaient terminés, et la cible choisi, première a tombé au main des Turcs, Erzurum sera la première a revenir sous la vérité chrétienne, de plus en raison des récents evenements aussi bien dans l'Empire Romain qu'en Terre Sainte, la présence armée dans les hauts plateaux anatoliens a grandement diminuée.

Ainsi s’élançait l'imposant convoi, et une quinzaine de jours passa sans que les Turcs n'eurent conaissance d'une quelconque expédition venant à leur renconctre, après un rapide passage par la province romaine de Trézibonde pour se ravitailler, et une fois les Saints de glaces passés, les premiers bruits arrivaient à Erzurum de l'arrivée du Roi David Slosan de Géorgie avec plusieurs milliers de Géorgiens surarmés avec lui hantaient la ville.
Mais ils étaient trop tard, une bonne partie de la région était déjà mis à sac et les troupes du Roi David n'était plus qu'a deux jours de marches d'Erzurum.
Le Jour tant attendu étais arrivée et les imposantes colonnes géorgiennes bloquait déjà le principal accès à la ville, Erzurum était réduit à elle même, bloqué entre les monts encore enneigés d'Anatolie et la puissance géorgienne de l'autre.

Bien qu'un rang relativement moyen par rapport aux autres villes d'Anatolie, elle n'est que peu protégée et sa citadelle est ridicule (cf photo IRL), un siège rapide est cependant à prévoir mais en cette mi-printemps les ressources de la ville viendront vite à manquer, le climat n'étant que peu propice à la culture et les ravitaillement impossible
A la grande surprise du Roi quelques escarmouches eurent tous de même lieu, mais rapidement la cavalerie lourde accompagné d'archers balaya la résistance environnant et la ville ne fit pas long feu, le matériel de siège amené dans le convoi furent rapidement installés et la ville bientot harcelée jour et nuit, aussi bien par les archers que les catapultes, tandis que sporadiquement des charges visant à faire tomber la porte principale venait soudainement donner un point de plus à protéger a la faible garnison ennemie.

Un mois et demi après la décision de la Reine Tamar, Erzurum tombait aux Géorgiens.
Un pigeon voyageur est envoyé à la capitale du Sultanat ainsi qu'a Tbilissi, aucun mal n'est fait aux populations locals, la ville à cependant été pillé, les conditions inhospitalières ayant grandement fait baisser le moral des soldats et la ville se voyait intenable, avec l'accord de la Reine, les troupes géorgiennes abandonne un Erzurum en ruine tout en pillant chaque village sur leur passage et en ramenant un somptueux butin.

• Confidentiel •

Des petites garnisons sont mis en place aux frontières sud du Royaume en prévoyance de possibles réponses ultérieures des Roum et de leurs alliés.

Carte des mouvements:

par **Von Mises** Dim 19 Mai 2013 - 15:00

Empire Romain d'Orient [Guerre] Empire Romain d'Orient et Royaume de Géorgie face au Sultanat de Roum. [Victoire orthodoxe] Drapea11

l’Empire Romain contre-attaque.

Depuis que le Basileus Théodore Ier, Empereur des Romains & Roi de Byzance a été porté sur le trône, l’élite dirigeante de l’Armée Romaine est en effervescence. En effet, à Byzance, les généraux les plus valeureux et compétents qui commandent les Légions Romaines se succèdent devant l’Empereur pour exposer les problèmes. Maintenant que la Princesse Romaine, Irène, est mariée au Fils-héritier du trône de Rascie, et que la Sainte-Alliance a été scellée avec l’allié bulgare, les Balkans ne sont plus menaçants et l’énergie, la force des Légions Romaines peut désormais déferler sur les hérétiques « musulmans » qui menacent l’Empire et la Chrétienté. Constantinople doit à tout prix contre-attaquer. Alexis Kadopoulos – Stratège de Pruse – ; Vidalis Roméli – Stratège de Smyrne – et Sylvius Césarius – Stratège de Trébizonde – se réunirent à Constantinople pour exposer le plan visant à expulser les Roums des terres irrédentes byzantines. Le plan était en lui-même relativement simple : Par un encerclement et des batailles rapides, les Légions Romaines devaient prendre possession des terres roums et les forcer à la négociation. Grâce à l’ordre du Basileus de lever trois Légions dans les Thèmes d’Anatolie, les Armées étaient prêtes. La première attaque devrait partir de Smyrne, menée par le Stratège Roméli. La Seconde attaque partira de Pruse, menée par le Stratège Kadopoulos et enfin, la dernière, de Trébizonde, qui sera menée par Sylvius Césarius.

À Denizli, dans le Thème de Smyrne, la Ière Légion est en effervescence. Le Stratège Roméli a revêtu ses plus belles parures, dans sa fière armure de fer resplendissante. Tous les hommes, les cavaliers, les archers, sont prêts. Les engins de siège, particulièrement les trébuchets et mes catapultes, 15 de chaque ayant été mis à disposition. Au petit matin, sous une température douce et un temps calme, la Légion se mit en marche, en ordre serré et discipliné. Les longues colonnes étaient toujours précédées par les de petits groupes de Koursores, la Cavalerie légère de l’Empire, pour prévenir les raids. Arrivée à Afyon, la Ière Légion n’a pas rencontré de résistances mais fait face à 3000 soldats musulmans déterminés à défendre la ville. Néanmoins, devant l’écrasante supériorité numérique, mais sûrement totale, Roméli est confiant. Il fait monter les engins de siège, 10 trébuchets, et commence à matraquer les fortifications roum à coups de boulets. Après quelques salves, le Stratège décide d’enflammer les boulets pour une meilleure efficacité, campant deux jours devant la ville. Les fortifications, relativement légères, en sortent extrêmement endommagé. Néanmoins, cette bonne nouvelle en cache une bien pire : Des troupes roums arrivent par le nord, depuis Eskisehir, pour affronter la Première Légion. Rapidement, le Stratège décide d’avancer les trébuchets de façon à ne plus tirer sur les fortifications mais sur la ville et donc les trois milles soldats qui s’y trouvent. Les projectiles enflammés y font un ravage. Après cela, les Cataphractes, la Cavalerie lourde romaine, commence à charger vers la ville, couverte par les archers tirant sur les fantassins musulmans qui essayent, en vain, de désarçonner l’une des meilleurs cavaleries d’Europe. Ensuite, les fantassins légers ainsi que les fantassins lourds investissent les rues, parfois en feu, de la ville, affrontant les derniers – valeureux – résistants seldjoukides qui infligent des dégats à la Légion.

Ayant reçu le message du Stratège Roméli, Kadopoulos décide de lancer la IIème Légion pour une tactique du marteau et de l’enclume revue par les Légions de Constantinople. En effet, la IIème Légion se met rapidement en marche, partant de Brousse pour fondre sur Eskisehir. La distance relativement faible entre les deux villes permet aux colonnes romaines de fondre sur la ville et d’arriver devant cette dernière en très peu de temps. Se contentant d’ouvrir une brèche dans les fortifications d’Eskisehir, Kadopoulos décide d’y envoyer la Légion, sans avoir vraiment endommagé la ville. Cela s’avère être une erreur, puisque à peine passer les murailles, les lanciers sont attaqués de tous les côtés par la cavalerie arabe. Réussissant néanmoins à en désarçonner une bonne partie, les lanciers sont amputés d’une partie importante des effectifs. Par ailleurs, les fantassins légers se battent à armes égales avec les fantassins turcs, si bien que les turcs manquent de repousser la Légion ! Néanmoins, les Koursores ainsi que les Cataphractes arrivent juste à temps pour sortir les soldats romains de cette mauvaise passe, chargeant à une vitesse incroyable et une force considérable, décimant les rangs ennemis. Les fantassins romains ont également capturé Mustafa Al-Kwahili, le notable dirigeant de la ville alors qu’il tentait de s’enfuir. Il a été évacué vers Pruse, loin des lignes ennemies. Constantinople affirme qu’aucun mal ne sera fait au prisonnier, et qu’il sera rendu si la Roum entame des négociations de paix avec l’Empire Romain d’Orient.

Les informateurs ayant averti Césarius que l’attaque de la Ière Légion était un succès total et que celle de la deuxième était une bataille coûteuse, mais succès tout de même, la IIIème Légion se lance dans sa marche frénétique à l’assaut des régions turques. S’élançant de Kastra Komnenon, la marche est rapide. Comme à l’habitude, précédée par de petites expéditions de cavaleries légères pour éviter les embuscades. Après quelques jours de marche, la IIIème Légion s’arrête à Cankiri, menaçant Ankara a tout instant.

L’offensive généralisée des forces romaines est un succès retentissant pour la relève de l’Empire, qui fait resplendir l’aura du nouveau Basileus dans le monde entier, et surtout aux yeux des romains. Constantinople, devant l’inévitable recul des forces turques face aux romaines qui sont largement avantagées, demande au Sultan Süleyman II de venir à Constantinople pour négocier la fin des hostilités. Il faut se rendre à l’évidence, les Légions menacent Ankara et bien plus de villes Roums, ils seront bon, pour le seul peuple si ce n’est pour le Sultanat de parlementer.

Théodore Ier des Ange, Basileus de l’Empire Romain d’Orient et Roi de Constantinople.

Spoiler:

par **galx** Jeu 23 Mai 2013 - 19:30

Sultanat Seldjoukide de Roum

سلجوقیان روم

[Guerre] Empire Romain d'Orient et Royaume de Géorgie face au Sultanat de Roum. [Victoire orthodoxe] Seljuk_Flag

Le sultan Rukn ad-Dîn Süleyman II Shah a rassemblé le conseil des Grands du Sultanat en urgence en cette année 1202 pour répondre a la crise majeur qui sévit en nos jours. Les Vizirs et Grand Calife se sont donc réunis pour délibéré sur la menace Byzantine et Géorgienne qui plane sur notre royaume. Celui-ci connait des heures sombres et sa puissance diminue d’année en année. Les conseillers ont délibéré pendant 3 jours dans la capitale. Le Sultan a ensuite annoncée sa volonté de rendre les armes et de négocier la paix avec l’empire Byzantin avançant comme argument que le royaume était déjà assez ravagé comme cela et que la menace était trop grande. Des émissaires sont déjà en route pour Constantinople, ou j’espère que la paix pourra être signée pour le bien de nos deux peuples.

par **Von Mises** Jeu 23 Mai 2013 - 20:43

Traité de Constantinople.

1 – Le Sultanat de Roum se rend face à l’Empire Romain d’Orient, déposant les armes devant la menace que les trois Légions Romaines font peser sur Konya, la capitale et d’autres centres importants du pays comme Ankara. Les hostilités entre les deux partis cessent donc immédiatement.

2 – Le Sultanat devient vassal de l’Empire Romain d’Orient, et est par conséquent cesse d’exister sous l’appellation de « Sultanat de Roum ». Pour intégrer l’ancien sultanat dans l’Empire, un Thème Spécial est créé, sous le nom de « Thème spécial d’Anatolie ». Ce thème est dirigé par un Prince, et ce Prince directement conseillé par un Stratège nommé par le Basileus.

3 – Le « Prince d’Anatolie » est Arslân Al-Hiffli, un arabe orthodoxe venant de Syrie et ayant de nombreuses relations à travers tous les états musulmans. Il gouvernera sous le nom et titre de « Théodros Ier, Roi d’Anatolie par la Grâce du Basileus Théodore Ier ». Le Prince d’Anatolie est épaulé dans ses choix par nombres de conseillers coptes venant d’Égypte, triés sur le volet par leur intégrité et leur foi en Dieu.

4 – La capitale du Thème reste Konya, qui est renommé par son nom antique, Iconium.

5 – Les nouveaux citoyens d’Anatolie seront parfaitement traités. Comme il est en vigueur autre part dans l’Empire, les juifs et musulmans ont un impôt spécial, qui est à peine 5% plus élevé que pour les orthodoxes. En échange de cette contribution, les populations de différentes religions peuvent venir s’établir dans l’Empire Romain et y avoir les mêmes droits. Secrètement, l’Église Orthodoxe espère, par ce procédé, convertir en masse les populations non-chrétiennes.

6 – Le Thème Spécial d’Anatolie conserve son budget annuel, soit 75 000 Hyperpères. Le Prince d’Anatolie est libre de les dépenser à son bon vouloir, toujours dans le respect des populations.

8 – Les Armées du Prince devront garder approximativement les mêmes effectifs.

l'Empereur de l'Empire Romain d'Orient, Roi de Constantinople, Théodore Ier le Sage signe, tout comme le nouveau Prince d'Anatolie Théodore Ier. Les deux partis sont donc officiellement réunis.

par **galx** Jeu 23 Mai 2013 - 20:49

Le peuple d'Anatolie salut avec joie cette nouvelle qui lui évite ainsi une longue et sanglante guerre.

PERTES :

Romaines : 1778 hommes de toutes sortes dans les Légions. Quelques dégâts dans les nouvelles villes du Thème Spécial.
Roum : Environ 3000 hommes morts, quelques centaines de prisonniers. Fin du Sultanat.

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