[Accepté] République de Venise

Repùblica Vèneta

Économie de la République de Venise

La République de Venise s'appuie sur la plus puissante flotte d'Europe et la plus nombreuse flotte commerciale d'Europe afin d'assurer son commerce sur la Méditerranée et l'Adriatique. Venise et Gênes, souvent en conflit, se partagent officieusement la mer, avec la partie orientale pour Venise et occidentale pour Gênes. Cependant, Venise, grâce à ses liens avec l'Orient et le commerce des biens de très grande valeur s'est hissé comme la puissance commerçante principale du XIIIème siècle.

Catégorie économique : 1 soit 150 000 florins par an de revenus

Caisses de la ville : 513 400 florins

Projets en cours : Fortifications de la ville de Venise (opé en 1207 et finies en 1211

Forces Armées de la République de Venise

Marine Vénitienne : 706 navires

Navire de guerre léger : 245
Navire de guerre lourd : 123

Navire Marchand Léger : 240
Navire Marchand Lourd : 98

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Armée Vénitienne : 2 493 hommes

- Paysan mobilisé: /
- Fantassin léger (type milice par exemple: armure en cuir, écu): 800
- Fantassin moyen (côte de mailles, bouclier): 300
- Fantassin lourd (armure en fer, bouclier): 200
- Lancier (armure en cuir, lance): 193
- Piquier (côte de mailles, lance): 120
- Archer: 330
- Javelinier: /
- Arbalétrier: 550
- Cavalier léger (armure en cuir): /
- Cavalier moyen (côte de mailles): /
- Cavalier lourd (amure en fer): /
- Catapulte : /
- Trébuchet : /
- Bélier : /
- Tour de siège : /

- Mercenaires sous contrat : /

Pays en Guerre contre la République de Venise :

Droits de transits maritimes et/ou terrestres accordés à la Sérénissime : Pise (VASSAL), Empire Byzantin, Califat de Bheni Gahia

Sérénissime République de Venise

Exigences Vénitiennes vis-à-vis de l'Empire Byzantin

Ce traité, si signé, engage par l'honneur la République de Venise et l'Empire Byzantin.

- Cession de l'île de Crête à la République de Venise
- Cession des îles Egées à la République de Venise
- Ouverture des ports de la totalité de l'Empire Byzantin aux navires de la Sérénissime. Les ports pourront s'il le faut, être pourvus en marchandises de stock vénitien, afin d'améliorer l’efficacité du commerce vers le Levant et la Mer Noire. Les ports sont également ouverts à la flotte de guerre de Venise.
- L'Empire Byzantin s'engage à accorder à la République de Venise un taux commercial préférentiel, autant en fréquence d'échanges qu'en quantité.
- L'Empire Byzantin et la République de Venise s'engage à faire prospérer le commerce vénitien et à le protéger, le faire se développer, à l'abri de toute menace extérieure.

Sérénissime République de Venise

La Sérénissime République de Venise, en état de guerre contre la République de Pise depuis maintenant 3 ans (historique), suite à la décision du Doge Enrico Dandolo et appuyé une fois de plus par le Grand Conseil de Venise a décidé de frapper fort l'ennemi et de se saisir des terres Corses en possession de Gênes, afin de priver la République décadente de toute terre extérieure et de tout port d'attache autre que Pise elle même.

C'est par le discours suivant, donné devant le Grand Conseil, qu'Enrico Dandolo a reçu l’approbation du Grand Conseil, faisant encore une fois preuve de sa grande maîtrise politique.

Cari consulenti,

Ti ho incontrato oggi nel Gran Consiglio di Venezia, per porre fine alla guerra con la Repubblica di Pisa. La Repubblica di Pisa, decadente, corrotta e incapace di stare in piedi nel santo XII secolo deve pagare per la guerra tra noi ormai da tre lunghi anni.

Ciò che mi propongo di Gran Consiglio oggi è semplicemente il colpo mortale inflitto lo stesso petto del nemico, che si inginocchia e completamente svuotato del suo potere. Questa è l'ultima superfici ritirate dalla metropoli pisano. L'Esercito di Venezia e la sua marina Serene sarà a capo sotto il comando di Pietro Ziani, alla Corsica e cogliere. Mettere sotto un blocco di Pisa è anche necessario, al fine di piegare velocemente la Repubblica di Pisa sotto gli assalti ripetuti da parte nostra Serenissima Repubblica di Venezia, che impongono con l'aiuto di Dio.

Perché Pietro Ziani? Questo giovane veneziana di buona famiglia di mercanti, è estremamente competente militarmente. Non è un segreto, i suoi successi militari in Terra Santa hanno sentito parlare di tutta la cristianità. Pietro Ziani guiderà il corpo di spedizione contro la Repubblica di Pisa, ed è certo che prima o poi la bandiera veneta volerà sulla Corsica altezze.

Suite à une manipulation idiote de la part du chargé des notes du Grand Conseil, la version francophone fut perdue dans les abîmes de Google Traduction. Le coupable fut châtié sur la Grand Place.


Il est certain que la prise de la Corse mettra à mal la République de Pise, ennemi de Venise. Il est également certain qu'en cas de victoire, Ziani sera vu comme le successeur du vieux Dandolo, déjà âgé de 87 ans à l'heure actuelle et ne possédant plus la vigueur d’antan. Une victoire de l'expédition assurera non seulement à Venise la fin de son ennemi, mais aussi à Ziani une légitimité en tant que nouveau chef de la République de Venise.

Manoeuvres Militaires

Afin de mener à bien l'expédition, Venise mobilise deux corps expéditionnaires, le premier servant au support du transport de troupe, et le second formé uniquement pour bloquer le port de Pise.

Le Premier Corps est formé de 60 navires de guerre léger et de 15 navires de guerre lourd, chargé de 2 000 fantassins légers, 800 fantassins moyens et 200 fantassins lourds. Ils seront accompagnés de 600 arbalétriers et d'un petit corps de 80 archers.

Le Second Corps, qui n'est qu'une flotte de guerre, sera composé de 100 navires de guerre légers et de 50 navires de guerre lourds.

Premier Corps

Le Premier Corps, transportant l'armée terrestre, se sépare du Second arrivé à la hauteur du Nord de la Corse, afin de débarquer à quelques kilomètres de Bastia.
La ville, non fortifiée et simple port de pêche, tombera facilement sous les assauts de Venise.

Pietro Ziani, dans une reluisante armure portant sur son poitrail gauche le blason de Venise et sur son poitrail droit celui de sa famille, mène glorieusement les troupes après un débarquement calme.
Bientôt, les Pisans se montrent à l'horizon. Pour faire face au total de 3 680 soldats Vénitiens, les 2 000 troupes Corses se montrent bien maigres, malgré la présence de 60 cavaliers légers, manquant à l'armée Vénitienne.
Globalement moins bien équipés que leurs adversaires, les troupes de la République de Pise stationnées en Corse sont formées pour l'écrasante majorité de fantassins légers, d'archers et de paysans recrutés à la va-vite par l'autorité locale.


Pietro Ziani, confiant dans la victoire de son armée, marche vers Bastia, afin de rencontrer l'armée adverse dans un champ près de la ville. Pise déploie alors un étendard, bleu marine, demandant des pourparlers avec le Général Vénitien.
Ziani, chevauchant un cheval noir, le seul et unique cheval du Premier Corps, nommé Mussolini, va à l'encontre de Giacomo Panzani, le Général Pisan.

Giacomo Panzani, en homme d'honneur, ne demande pas la redition mais souhaite simplement s'enquérir de la raison d'une telle attaque, et s'assure que les paysans qui n'ont pas pris les armes ne soient pas maltraités par les forces vénitiennes en vadrouille.
Ziani donne sa parole d'honneur qu'en cas de défaite Pisane comme de victoire Pisane, les forces de Venise n'abattront aucun paysan italien qui ne se montrera pas hostile. Venise n'a aucun intérêt à massacrer la population Corse. Après le court entretien, les deux hommes échangent une poignée de main et se séparent vers leurs armées respectives.


Les forces de la Sérénissime République de Venise ont pris place dans une formation basique.
Les fantassins forment, moyens en avant et légers en second, un rempart protecteur pour la force d'arbalétriers vénitiens, portant des pavois et situés quelques dizaines de mètre plus en arrière. Les fantassins lourds sont gardés en réserve sur l'aile droite.

Les Pisans prennent une formation similaire, mais manquant cruellement de fantassins autres que légèrement armés, et d'archers, à la portée inférieure à celles des arbalétriers ennemis. Leurs cavaliers sont invisibles aux Vénitiens.

Les deux blocs s'avancent l'un vers l'autre, et lorsque 500 mètres séparent les deux factions, Venise s'arrête et les arbalétriers commencent à ouvrir le feu sur les rangs ennemis, ciblant les unités d'archerie Pisanes. Celles-ci, possédant une portée inférieure, doivent continuer d'avancer sous les carreaux ennemis.

La première volée est imprécise et n'emporte que peu d'adversaires. Elle sert principalement d'indicateur de distance aux forces de Venise. La deuxième volée de carreaux d'arbalète frappe les archers Pisans de plein fouet. Ceux-ci, ne portant que des armures de cuir de mauvaise qualité qui plus est, n'ont aucun moyen de survivre à un impact. Si un carreau vénitien touche un archer ennemi, la mort est assurée.
Les Pisans tombent comme des fétus de paille sous la pluie mortelle de Venise. Mais braves soldats, ils continuent d'avancer et se placent à portée, ouvrant le feu sur les troupes de Venise.
Les pavois des arbalétriers protègent ceux-ci lors de leur rechargement assez long de l'arbalète, ne provoquant que peu de pertes. Mais les archers visent principalement les troupes d'infanterie.

Les échanges se poursuivent ainsi pendant quelques minutes, avant que la charge ne soit lancée par les forces de Pise, consciente que la prolongation d'un tel affrontement n'amènera qu'à la perte de leur force d'archers.
Les troupes de Pises s'élancent vers celles de Venise en courant à toute vitesse, cherchant à réduire la distance afin d'éviter une volée de carreaux. Mais celle-ci arrive et frappe durement les troupes légères de Pise, ainsi que les paysans. Ceux-ci, déchiquetés par la force des arbalètes, ne sont pas rares à se faire presque arracher un avant-bras ou à se faire projeter plusieurs mètres en arrière après l'impact d'un carreau dans la poitrine.

Spoiler:

Les troupes de Venise se lancent à l'encontre de l'ennemi alors que celui-ci est à quelques dizaines de mètres. Le choc est violent, mais les deux côtés tiennent bon. Pendant ce temps, les arbalétriers retournent sur les archers et les harcèlent de carreaux, causant la déroute d'une bonne partie d'entre eux.

Le corps à corps fait rage, mais la supériorité technologique de Venise fait pencher la balance en sa faveur. Lorsque soudain, la cavalerie Pisane charge sur le flan gauche. L'infanterie lourde vénitienne profite alors de l'occasion pour manger le flan gauche Pisan et l'encercler, afin d'attaquer les soldats par derrière avec leurs fines épées. Protégées par leur lourde armure, ils ne subissent aucune perte.

La cavalerie Pisane, voyant la déroute des archers et des fantassins, décide de battre en retraite après une charge, bientôt suivie par une partie de l'armée Pisane, le reste étant capturé par les forces de Venise.

La Bataille de Bastia est une victoire pour Venise, qui soumet les forces de la ville et entre dans le chef lieu de la Corse pour y faire régner l'ordre Vénitien.

Second Corps

La Marine de Guerre de Venise se dirige vers le Port de Pise, où elle impose un blocus à la République ennemie.

Après une escarmouche qui portera le nom de Bataille du Port de Pise, durant laquelle les navires vénitiens grâce à leur armement supérieur et leur conception ingénieuse emportent la bataille face à la flotte ennemie, qui se replie à l'intérieur du port.

Le Second Corps conserve son blocus sur le port de Pise et intercepte tous les navires Pisans s'approchant, saisissant et la cargaison et l'équipage, sans oublier le navire en lui même.

Bilan :
Pour Venise, 200 fantassins légers tués, 120 fantassins moyens tués, 3 navires de guerre lourds détruits et 21 navires de guerre léger détruits.
Pour Pise , Armée de Bastia en déroute, 900 soldats capturés et tenus prisonniers par les forces de Venise, 9 navires de guerre lourds détruits, 34 navires de guerre légers détruits, 5 navires de commerce lourds capturés, 12 navires de commerce légers capturés, 12 000 florins de marchandises saisis.

Sérénissime République de Venise

La République de passe reçoit les comptes pour l'année 1202, et les caisses de la Cité renferment désormais près de 300 500 florins.
Le projet de la construction d'une enceinte reste la priorité dans les affaires intérieures de la ville, et comme chaque année, 30 000 florins sont directement prélevés des revenus afin de permettre la poursuite de la construction de ce rempart maritime, coûteux mais qui assurera la sécurité de la République face aux hordes ennemies.

Le Doge Enrico Dandolo a souhaité exprimer son dégoût et sa colère contre le Duc de Toscane et le Duc d'Autriche, sans oublier le Roi d'Angleterre mais surtout face au Saint Empire Romain Germanique, qui eu lieu de rassembler sa force prodigieuse cherche à négocier un traité de paix avec les infidèles !

La Sérénissime République de Venise est proprement choquée, et à travers toutes les classes de la société, l'on se demande si le Saint Empire est bien sage de vouloir abandonner une partie de l'Italie à l'Islam. Plusieurs familles influentes, dont les Ziani et les Dandolo, estiment que la domination du Saint Empire sur l'Italie touche à sa fin avec cette déclaration, qui montre sa faiblesse de caractère.

La République de Venise confirme qu'elle n'abandonnera pas la lutte contre les troupes musulmanes de Sicile, et qu'elle s'alliera s'il le faut au Duché de Milan. En parallèle, la décision de s'allier avec le Duc de Milan dans la lutte contre les infidèles a été vue comme un bienfait pour la République, mais surtout pour la préservation de la Chrétienté en Europe du Sud.

Spoiler:

Le Doge de Venise, s'il n'oublie pas les affronts passés de Milan face à la Sérénissime, a déclaré être profondément honoré de voir les intérêts de la Chrétienté passer avant ceux des Républiques Italiennes, et de voir que deux ennemis peuvent s'entendre pour évoluer vers un but commun.

La République de Venise remercie également Sa Sainteté le Pape pour le soutien apporté à la défense de l'Italie, et promet à Sa Sainteté la défense des terres Papales à tout prix si la vague musulmane venait à remonter la botte italienne.

Répondant au Royaume de Jérusalem, Venise accepte le prêt de 33 000 florins, conclut avec un remboursement de 25 000 florins par an pendant 2 ans. Venise est toujours prête à défendre la Chrétienté, et à frapper l'Islam, lorsque les grandes puissances chrétiennes s'en abstiennent.

Sérénissime République de Venise

Afin de renforcer le rôle de la Sérénissime République de Venise en tant que puissance maritime de la Méditerranée mais aussi afin d'assurer la sécurité de la Lagune Vénitienne, le Grand Conseil a décidé de la construction de 14 navires de commerce lourds et de 8 navires de guerre lourds pour la somme de 8 100 florins.

L'Arsenal de Venise, qui est déjà entré en service depuis maintenant 30 ans, permet une construction navale à la pointe du savoir actuel, en plus d'avoir le rythme de production le plus rapide du Monde connu.

Pour rendre l'Arsenal encore plus performant, un agrandissement de 900 mètres carrés ainsi que l'achat de 6 grandes tours de bois de déchargement, 13 petites tours de bois, la construction d'un nouvel entrepôt d'une capacité de 1 500 tonnes ainsi que la rénovation du fond des canaux menant à l'Arsenal, coûtera un total de 34 000 florins aux caisses de la Cité.

Le Doge Enrico Dandolo envoie également un émissaire à Paris, afin de tenir des négociations secrètes avec le Royaume de France, si celui-ci l'accepte.

Sérénissime République de Venise

L'an de Grâce 1203, qui a vu les musulmans se faire bouter hors de la Péninsule Italienne par les Armées du Saint Empire Romain Germanique, voit 150 000 florins supplémentaires rentrer dans les caisses de la Cité, comme chaque année.
Comme chaque année également, 30 000 florins sont investis immédiatement dans la construction des fortifications de la Lagune de Venise. Ces fortifications, extrêmement couteuses, continuent d'être la priorité du Grand Conseil de la Sérénissime République de Venise.

Caisses de la ville : 345 400 florins

Le Doge est souffrant

Le Doge Enrico Dandolo est tombé gravement malade lors de l'hiver 1202-1203. Souffrant du froid, les meilleurs médecins du Nord de l'Italie ont été engagés par Venise, mais la condition du Doge ne fait que s'empirer. Le vieil homme, âgé de 89 ans et aveugle depuis des décennies, malgré une présence d'esprit encore très claire, n'en aurait plus pour très longtemps.

Le Grand Conseil se prépare déjà à élire le nouveau Doge de la République de Venise, et le jeune général vénitien, issu d'une famille noble, Pietro Ziani, qui mena les armées de la Cité lors de la Prise de Bastia, est déjà considéré comme un favori.
Même Enrico Dandolo, pourtant réticent à son sujet, en voyant les prouesse de commandement dont il a fait preuve, se réjouit de cette possibilité.

Celui qu'on appelle le Lion de Venise, Pietro Ziani, âgé de 34 ans, se verra incessamment sous peu couronné nouveau Doge de la Sérénissime République de Venise, une fois l'abdication du Doge Enrico Dandolo enregistrée par le Grand Conseil de la Cité de Venise.

Pietro Ziani n'est pas encore marié, extrêmement pris par une carrière militaire hors du commun. Dirigeant des armées de Venise lors de la Troisième Croisade en Terre Sainte, et Général de Venise lors de la Guerre Pisano-vénitienne qui s'est soldée par la Prise de Bastia tenue par le Général Panzani ainsi que la vassalisation de la République de Pise, Ziani est un génie militaire.
Fervent défenseur de Venise, il possède une rancœur contre le monde Orthodoxe après le massacre des Catholiques en terre byzantine de 1089, où son oncle marchand fut abattu par l'armée de l'Empire Byzantin.

Le Lion de Venise, ayant appris la nouvelle, se prépare au Couronnement.

Repùblica Vèneta

L'an 1208 est placé sous le symbole du retour à la normalité pour la République de Venise. Après plusieurs années de guerre, contre la République de Pise, puis contre les forces musulmanes menaçant Sa Sainteté le Pape Innocent III et enfin une guerre civile qui pris fin l'an dernier, 1208 est la première année de paix réelle pour la République depuis longtemps.


Caisses de la ville : 423 400 florins

Comme d'habitude depuis maintenant 8 ans, 30 000 florins sont investis dans la muraille maritime de la Cité, désormais opérationnelle mais non terminée. Toutes les tours sont équipées de balistes et de braséro, mais les finitions prendront jusqu'à l'an 1211 selon les ingénieurs Vénitiens.

Affaires Intérieures


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Le Doge de la République de Venise, Pietro Ziani, après l'exécution publique des trois conseillers ayant pris les armes contre lui dans une tentative de coup d'état au plus dangereux et vulnérable moment pour la République, a fait examiner par la cour de justice vénitienne les 9 conseillers restants, et il s'est avéré que le Conseiller Ziglioni était un informateur pour les révolutionnaires. N'ayant pas pris les armes dans une tentative de déstabilisation, il ne sera pas pendu, mais condamné à la prison à vie dans la Prison de Venise.

Le Conseil de la République de Venise a repris ses pouvoirs, et le corps électeur de la Cité a élu 4 nouveaux conseillers afin de conseiller le Doge.
Le Doge a remis ses pouvoirs au Conseil, et a abandonné les pleins pouvoirs qui lui furent accordés par ce dernier lors de la menace musulmane sur l'Italie


Les mercenaires n'ayant pas accepté l'offre du Duc, ils sont démobilisés.

Affaires Extérieures

La République de Venise a envoyé un cadeau de 10 000 florins à l'Empire Romain d'Orient en symbole des bonnes relations entre nos deux peuples. Depuis le traité entre Byzance et Venise, le Doge a salué l'effort commun afin d'éviter une guerre qui serait pourtant très probable entre les deux pays.

Une missive a été envoyée à la République de Pise, vassale de Venise. La missive souhaite revenir sur les 60% des revenus que Pise doit donner à Venise chaque année. Nous souhaitons faire passer ce chiffre à 25% en échange de la signature d'une alliance militaire solide et mutuelle entre Pise et Venise, liant pour une période indéfinie les deux Cités.

Venise déclare que tant que la dette de Jérusalem envers Venise ne sera pas remboursée (50 000 florins) aucun navire ou homme vénitien ne viendra à l'aide de la Terre Sainte.