Congrès de Washington [MISE EN PLACE D'ACCORDS]

République Française

Léon Blum, Président du Conseil, Yvon Delbos, Ministre des Affaires Étrangères, et Paul Bastid, Ministre du Commerce, sont présents à Washington pour le congrès. Le chef du gouvernement prend la parole après Stanley Baldwin :

"Messieurs,

je tiens tout d'abord à remercier le Président Franklin Roosevelt pour son hospitalité et sa bienveillance. Moi et la délégation française sommes heureux ici en Amérique.
Pour répondre aux propos de Monsieur Baldwin, je suis tout à fait d'accord avec son discours sur les raisons de la crise économique et les dérives du système capitaliste, ainsi que le risque de tels marasmes pour le modèle de démocratie occidental. Le système boursier doit être régulé. Il est également indispensable d'assurer l'éducation de l'ensemble de la population afin d'instruire les futures générations dans les principes de civisme et de droit.
En revanche, je suis en désaccord avec son deuxième point. La reprise de l'économie doit se faire par la relance de l'investissement et de la consommation via une politique inflationniste, ce qui augmentera la productivité et baissera le chômage. Pour cela, des mesures sociales d'importance doivent être prises."

République de Pologne

Ignacy Moscicki, qui s'est déplacé lui-même pour représenter la Pologne au Congrès, prend la parole :

"Nous remercions les pays occidentaux d'avoir invité la République de Pologne aux négociations. Et je remercie personnellement le Président Roosevelt pour son hospitalité. Premièrement, j'aimerais attirer l'opinion des représentants occidentaux sur le fait que l'éducation est un budget très important, et il est difficile en temps de crise de conserver un budget élevé pour l'éducation alors que l'argent investit ne sera rentabilisé que plusieurs années plus tard. Mais l'éducation est un point important, nous sommes d'accord sur ce point. Deuxièmement, il est difficile de diminuer le taux d'imposition des riches sans éveiller la colère des classes populaires. En effet, ces dernières s'opposeront sûrement au fait que les riches payent moins en temps de crise.
Ensuite, l'ouverture des marchés est risquée. En effet, à un moment où le système libéral est en crise, comment voulez-vous que la population ait confiance en la libéralisation du marché?
Et enfin, nous applaudissons la proposition de "complicité militaire" dans le but d'assurer la paix mondiale, et d'éviter toute nouvelle boucherie."

Royaume de Grèce

Le Roi Georges II de Grèce accompagné de son Premier Ministre se rend à Washington avec la conviction que cette réunions entre Nations Démocratique se terminera sur une bonne entente entre les pays présents. C'est tout d'abords le Premier Ministre: représentant du Peuple et de la Démocratie hellénique qui prend la parole au nom de la Grèce.

" Tout comme vient de le déclarer le chef du Gouvernement Français, nous remercions tout d'abord les Etats-Unis d'Amérique et son gouvernement pour sa généreuse hospitalité. La Première clause nous semble parfaitement possible et ce serait une avancée vers la connaissance de la population cependant quelques frais d'inscriptions aux écoles seront necessaires à des prix très bas. Pour la Seconde Clause, nous ne pensons pas que la baisse d'impôts serait bénéfique pour nos pays, cette mesure ne sera donc pas appliquée en Grèce du moins pas pour le moment. La troisième clause est parfaitement en accord avec notre politique et sera appliquée au Royaume Grec et finalement la dernière clause est très importante pour nous, une alliances avec d'autres démocratie et une aide militaire serait vraiment bénéfique pour nos nations, nous sommes donc en total accord avec cette clause et nous encourageons les autres pays à en faire de même !"

République de Pologne

Discours du Président Moscicki :
"Nous soutenons tout à fait la proposition concernant l'aspect militaire des négociations. Nous pensons qu'il est nécessaire de défendre le monde démocratique et qu'une alliance à l'échelle mondiale est le meilleur moyen d'y parvenir.
Néanmoins, nous restons plus rétiscent à la proposition commerciale. Nous expérimentons en partie cela en ce moment avec la Suède et attendons les résultats pour nous exprimer sur cette option.
Nous souhaitons aussi rappeler que le fascisme n'est pas forcément un ennemi. En effet, malgré la campagne d'Ethiopie, l'Italie montre de bons résultats concernant la politique économique fasciste. Mais nous souhaitons être clair : nous ne soutenons clairement pas la politique raciale des régimes fascistes et nazis."

Quel coup d'Etat ? si tu parles de Metaxas je l'ai executé donc ya aucun coup d'Etat qui a marché !

Royaume de Yougoslavie

Pierre II de Yougoslavie prit la parole est dit:

Comme mes homologue ceci est un vrais honneur d'être dans la capitale des Etat-Unis Washington Dc.

Concernant la premier proposition nous ne voyons aucun objection vu que l’éducation est primordial je pense même que notre Royaume vas instaurer des cours anti-Nazie et anti-Fasciste ceci permettras a notre population de ne pas flancher du mauvais côte.

En ce qui concerne le deuxième point nous restons perplexe en fait notre Royaume est encore jeune est il n'y a pas si longtemps que ça mon prédécesseur Pierre I de Yougoslavie avait fait monarchie absolue si nous imposons moins la classe riche des indépandistes mènerons des combat contre nous et ceci nous affaibliras fortement.Nous pouvons le permettre.

Sur le troisième point nous n'excluons aucun pays pour la pure est bonne raison que si nous excluons qu'elle que sois le pays nous nous exposons a avoir des répercussion sur notre économie encore faible.

En ce qui concerne une alliance militaire notre Royaume n’exclue rien il serais judicieux qu'une coopération entre nous sois fait et montrer que nous aussi nous somme solide et prêt a nous défendre.

Nous pensons que tous les point important son traité,nous pourrons débattre sur les changement en Europe.

République de Pologne

La République de Pologne signe.