[WWI] Guerre Navale en Méditerranée

Les alliés ont laissé la responsabilité de la surveillance de la flotte austro-hongroise en Adriatique à l’Italie. La Marine royale italienne forte d’une force navale d’un tonnage et d’une qualité supérieure à celle de la Double Monarchie. Avec le concours ponctuel des unités navales françaises et anglaises, elle dispose en principe d’une domination en cas de rencontre avec la flotte ennemie. Mais le théâtre d’opérations est à l’avantage des Austro-Hongrois qui sont retranchés dans leurs bases d’Istrie et de Dalmatie.

Tour 1

Nature de l'action : Bombardement côtier de Pola

Effectifs, équipements, organisations :
Forces Navales :
- 2 Cuirassiers
- 5 croiseurs
- 10 Destroyers
- 6 Torpilleurs

Forces Aériennes :
4 Avions de reconnaissances Nieuport 10

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Action

Afin de porter un coup singulier à la Marine Austro-Hongroise et dégager des possibilités stratégiques en Mer Adriatique. La Marine Royale Italienne lance une opération surprise visant à frapper les installations défensives et par la suite forcer la rade de Pola pour effectuer un bombardement côtier bref mais nourris sur les installations militaires de la ville.

MODERATION DE GUERRE

Plus c’est haut plus il y a de dégâts : Score 31

La mauvaise reconnaissance n’a pas permis à la Marine Royale Italienne de bien évaluer les défenses côtières du port de Pula. Cette erreur de discernement n’a pas permis à la flotte italienne d’anéantir les batteries côtières austro hongroise. La rade de Pola resta inviolée ce qui limita la possibilité de bombardement de la ville, qui était restreint aux navires de premiers rang cuirassier et croiseur. Ainsi les salves ne purent par être aussi nourri et intense que prévu. Pour autant l’effet de surprise donna 1h aux forces navales italiennes pour bombarder la ville avant de repartir au large.

Pertes italiennes : 3 destroyers endommagés mais réparable et 1 torpilleurs perdu

Pertes austro-hongroises : 2 batteries côtières détruites, 1 cuirassiers légèrement endommagés, 2 destroyers perdus et 230 civils tués

La quasi entièreté de la Regia Marina se met en mouvement en direction du golfe de Trieste. En effet, depuis quelques jours les reconnaissances ont confirmé que l’ensemble de la Marine austro-hongroise se trouve à quelques kilomètres au large de Trieste. Pour les stratèges italiens il n’y aucun doute, les austro hongrois préparent la défense de Trieste en se servant de leur marine comme plateforme de défense en vue d’un possible assaut de l’armée de terre italienne.

Tour 2

Nature de l'action : Bataille navale de Trieste

Effectifs, équipements, organisations :
Forces Navales :
- 6 Dreadgnouhts
- 8 Pre- Dreadgnouhts
- 10 croiseurs
- 3 croiseurs légers
- 30 Destroyers
- 75 Torpilleurs

Forces Aériennes :
Avions de reconnaissances


Détails de l'action :
Action

En faisant ce constat l’amirauté lance des vols de reconnaissance afin d’identifier le déploiement ennemi. Une fois ses renseignements obtenus, la flotte italienne se mettra en ordre de bataille, en bénéficiant à la fois de son avantage de manœuvrabilité, et sur la concentration de navire ennemis dans une zone réduite, pour attaquer en pilonnant massivement les navires austro-hongrois. Cette mission sera donnée aux plus grands bâtiments de surfaces qui seront disposés en une ligne de combat. Cette attaque sera appuyée par les navires de tonnage inférieur (destroyers et torpilleurs) qui utiliseront leurs artilleries et leurs torpilles pour consolider les acquis des salves précédentes.

MODERATION DE GUERRE

Bataille navale de Trieste : 70%. Jet de dé : 51


L’amiral Paolo Emilio Thaon di Revel a réussi son coup. Grâce à un plan audacieux, la flotte italienne a obtenue dès les premières minutes d’accrochage l’avantage. Le contexte tactique a permis aux équipages de la Regia Marina d’ajuster de façon très précise leurs salves d’artillerie. Une fois la flotte austro hongroise complétement désorganisée par ce feu nourris, les torpilleurs sont rentrés en lice à leur tour, et se livrent à une véritable curée. Il n’y a eu aucun répit pour la marine impériale, se fut un véritable carnage qui ne s’arrêta que lorsque les italiens n’eurent plus de munitions. Les pertes sont lourdes pour l’ennemi en estime qu'environ 30% de leurs navires de premier rang ont été coulé et un grand nombre endommagé à des niveau plus au moins critique. Le Royaume d’Italie est fier de cette victoire qui prouve aux alliés que la Regia Marina peut égaler les prouesses de la Royal Navy.


Pertes italiennes :
- 2 destroyers
- 5 Torpilleurs

Pertes austro-hongroises :
- 2 Dreadnoughts
- 1 Semi Dreadnoughts
- 2 Pre-Dreadnoughts
- 5 Croisseurs
- 10 destroyers
- 14 torpilleurs