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[√] Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος

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Message par Prishayev Sam 14 Oct 2017 - 16:12



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Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος



Informations

Carte du pays:

Monarque : Sa Majesté Georges II, roi des Hellènes et Prince de Danemark
Premier ministre : Le Très Honorable Aléxandros Diomídis (Libéral)
Type de régime : Monarchie constitutionnelle
Population : 7,566,002 habitants
Religion majoritaire : Christianisme orthodoxe
Capitale : Athènes
Monnaie : Drachme

Contexte

Le Royaume des Hellènes a participé activement à la Seconde Guerre aux côtés des Alliés, bloquant ainsi le Levant et la Mer Égée aux forces de l’Axe, servant de barrière maritime, et surtout engageant avec le soutien britannique les hostilités sur terre en Albanie puis en Yougoslavie. La famine d’avant-guerre était toute relative, grossie par les autorités sans doute pour justifier ses politiques agricoles et faire peur aux petites gens; elle fut plus réelle pendant, quoique l’économie se concentra justement dans l’effort militaire et permit avec le soutien franco-britannique et des convois depuis Suez sécurisés rapidement, de s’atténuer rapidement.

Après la guerre, la Grèce se retire de l’Albanie. George II est toujours Roi des Hellènes, le pays n’ayant souffert aucune occupation et ayant même récupéré le Dodécanèse, accentuant le prestige de la monarchie. Ayant dès 1942 entrepris un changement progressif de politique l’assurant de nouveaux pouvoirs, écartant le Premier Ministre, le souverain fait néanmoins craindre un autoritarisme malvenu. Au sortir du conflit mondial, le Parti Communiste en Grèce représente une force politique majeure, même si tarie par la menace socialiste de la Turquie et de la Bulgarie. Plus récemment, le Roi Georges II s’est éteint et le grand conseil constitutionnel a  adopté une constitution pour le royaume, annonçant une nouvelle ère parlementaire pour le pays. Paul 1er, nouveau Roi, soutien une politique favorable aux alliés d’hier.


Économie

Croissance économique : 2.7%
Produit Intérieur Brut : 13.351 milliards

Hellenic Armed Forces

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Hellenic Army

Réguliers : 88 000
Réservistes : 725 000
Mobilisable : 750 000

Équipement:

Placement:

Hellenic Air Force

Réguliers : 2 000
Réservistes : 5 000

Equipement:

Hellenic Navy

Réguliers : 20 000
Réservistes : 20 000

Équipement:

Diplomatie

Très bonnes relations : Yougoslavie, Royaume-Uni, France
Bonnes relations : Pays-Bas, dominions britanniques, Égypte, Iran
Relations neutres : Autres pays
Mauvaise relations : Albanie
Hostile : Turquie, RP Bulgarie, URSS

Elefthería í thánatos

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Message par Vautour Sam 14 Oct 2017 - 17:00

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Message par Prishayev Dim 15 Oct 2017 - 12:24



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Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος

Politique Intérieure

1951 – Budget

Le Royaume des Hellènes s’est élevé contre toute attente face aux fascismes, il a imposé sa volonté à ses adversaires et sort victorieux d’un conflit qui a propulsé la monarchie au sommet de son prestige depuis l’indépendance. Mais la situation est difficile, sur le plan politique les dernières élections se sont révélée être un triomphe mais c’est une victoire à la Pyrrhus, aux libéraux d’entreprendre des réformes de fond dans l’appareil d’Etat et l’économie publique largement dominante en Grèce. Un premier vote, celui du budget, déclenche l’ire de l’opposition. Et pour cause, le budget est jugé « expansionniste » selon les conservateurs (Papagos) et ne répondant pas « aux impératifs vitaux du peuple » (Papandréou). Selon Sofoklis Venizelos l’opposition au budget est « pure démagogie ». Néanmoins, même la majorité parlementaire est divisée. Le souci majeur étant qu’il s’avère nécessaire de concilier réformes, renforcement de l’appareil d’Etat et compression de sa masse salariale, aujourd’hui pléthorique. Un consensus est trouvé fin mars avec les sociaux-démocrates du parlement et avec la majorité et le budget a de quoi surprendre.

Le prélèvement qu’effectue l’Etat sur l’économie atteint 36% du PIB (4 806 millions) au lieu des 31% de l’année précédente. Le déficit budgétaire sur l’année 1951 devrait atteindre 5% de PIB (668 millions). Le budget total s’élève donc à 5 474 millions, le budget de la guerre couvrant à lui seul 19% des capacités financières de l’Etat soit 1 041 millions. Plus que des chiffres, il faut considérer le budget d’investissement par rapport aux besoins considérables du royaume à l’aube des années cinquante. La répartition des pourcents restant alimente des programmes sociaux hérités du régime du 4 aout, une pléthore de fonctionnaires ainsi que des projets inachevés puisque la guerre a nécessité l’ensemble des ressources de la nation. La paix revenant sur terre, il convient de rediriger un maximum de moyens vers sa préservation et l’épanouissement des peuples helléniques.

1951 – Famille


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La famille hellénique.


La famille est au cœur de la politique du pays depuis 1936, mais sa courte dynamique a été entamée par la guerre et aujourd’hui la population hellénique ne brille pas par un dynamisme exceptionnel. Pour restaurer cette dynamique Sofoklis Venizelos propose au parlement d’étendre l’allocation familiale afin de la faire passer de sa croissance et de son égalité au salaire moyen (très bas) à une aide plus incitatrice équivalente à deux salaires moyen et demi avec une augmentation régulière indexée sur l’inflation et l’augmentation du salaire moyen. Cette aide n’est pas la seule chose que le gouvernement propose d’augmenter. En l’occurrence, il s’agit d’étendre la couverture maladie hellénique, fort faible, aux familles dans le cadre du programme d’incitation à la natalité. De même, le congé maternité passe de 40% de rémunération à 100% et s’étale sur 36 mois. Ainsi, les dépenses liées à la santé devraient augmenter de 1.5% du PIB à 4% dont l’essentiel dédié aux femmes et aux familles. Les maternités apparaissent dès les années trente sous le régime du 4 aout mais l’expérience n’a pas duré, aussi leur retour en force au sein de structures hospitalières complexes devrait permettre (avec l’ouverture de 23 hôpitaux en trois ans) une diminution conséquente de la mortalité infantile, les femmes ayant l’autorisation et même le devoir de rester avec leurs enfants à l’hôpital aussi longtemps qu’il sera nécessaire (tous les frais étant pris en charge par l’Etat). Cette politique volontariste mêlant aides financières, protections sociales et infrastructures dédiées ne saurait être complète sans une campagne publicitaire et permanente en la faveur de la famille, de la maternité et en défaveur de toutes les tentatives de s’y soustraire.

La proposition, accueillie avec enthousiasme par l’assemblée, est un succès social et parlementaire pour le gouvernement libéral … mais aussi un échec sur le plan politique avec une contestation en interne de cette réforme au demeurant plus favorable qu’autre chose aux familles ouvrières, une réforme classée par certains comme « Bolchévique » !

1951 – Culture et Religion


[√] Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος  Akropo10

Acropole d'Athènes restaurée.


La Basilique de la Nativité est enfin achevée. La construction entamée au milieu des années trente sous l’impulsion du régime du 4 aout dispose de 20 000 places et mesure 86 mètres de haut. Sa grandeur, sa splendeur et sa démesure témoigne des ambitions de ce régime passé et lègue aux hellènes de Grèce un site qui n’a d’égale que l’antique Sainte-Sophie de Constantinople. Son don à l’Eglise Grecque permet sa dédicace et c’est par milliers que les grecs affluent dans ce qui devient le plus beau monument contemporain et de style néo-byzantin d’Athènes. Pavée de marbre, illuminée par un soleil traversant des vitraux somptueux et pourvue par les plus renommées des reliques, la Basilique de la Nativité s’expose comme le joyau d’une Grèce restaurée. L’archéologie et ses reconstructions reprennent, au point qu’un nouveau projet émerge : restaurer intégralement l’acropole et ses bâtiments liés. Faire d’Athènes le cœur d’un monde Hellénique culturellement unifié autour d’une même histoire, plus que le culte orthodoxe c’est la suprématie de cette Grèce antique et médiévale et de ses cités qui se trouve au cœur de cette affaire. La restauration débute dès 1951 et à l’appel des autorités des archéologues, spécialistes en tout domaine lié à cette reconstruction, tous se préparent à ce grand chantier. Il va durer plus d’une décennie, mais que de gloire ! Le Parthénon par exemple, il ne sera pas fait de béton, comme proposé, mais bien de marbre ! Le soin apporté à la restauration du lieu n’est pas sans rappeler un autre projet, celui de la restauration du théâtre de Dionysos à Athènes également. Refait dans sa version antique, le théâtre apparaitra dans plus de dix ans comme un chef d’œuvre de la civilisation hellénique.


[√] Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος  Dionys10

Le théâtre de Dionysos restauré.


Relations Internationales

Royaume-Uni – A propos de Chypre

C’est avec joie que le Roi, le gouvernement, le parlement et le peuple de Grèce a accueilli cette proposition. L’unité des hellènes est l’œuvre manifeste de l’influence britannique depuis le 19ème siècle et cela ne saurait être oublié ! Néanmoins, la mention des bases, sans inquiéter le gouvernement outre mesure, n’est pas sans éveiller quelques craintes. En effet, la conception de ces bases est en l’état d’un type colonial, elles incorporent des infrastructures militaires, mais aussi et surtout des espaces civils, des terres agricoles, des bâtis dédiés à l’habitat des autochtones, des côtes dédiées à la pêche, aux plaisirs de la vie et plus tard au tourisme. Aussi, la présence des bases souveraine est d’emblée acceptée mais l’espace souverain devrait se limiter aux infrastructures strictement militaires. Dans le cadre de la décolonisation et plus encore à titre symbolique et pour réprimer les tendances nationalistes des chypriotes, nous espérons que vous comprendrez notre appréhension à l’égard de cette présence extramilitaire sur l’Ile. Par ailleurs, le gouvernement grec souhaiterait réaliser une rencontre avec parterre d’industriels britanniques, avec les représentants du gouvernement britannique et conclure dans ce cadre là des accords économiques et confirmer ou rediscuter (selon les sujets) des accords précédemment conclu.

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Message par Prishayev Lun 16 Oct 2017 - 10:05



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Royaume de Grèce - Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος

Politique Intérieure

1951 – Chypre


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Casque Corinthien en bronze.


Chypre, l’un des trois poumons de la civilisation hellénique. Portée par des millénaires d’existence, l’Ile peut se targuer d’une histoire hors du commun. Ballotée par les occupations successives de son territoire, elle n’a pourtant jamais abandonné son identité et sa Foi. Chypre c’est la conquête d’Alexandre le Grand, de Nicéphore II Phocas, c’est la forteresse de Manuel I Comnène face aux croisés d’Antioche, ce sont des mines de cuivre qui ont alimenté la production de bronze dans tout le bassin méditerranéen durant l’âge de Bronze, c’est une Ile prospère qui s’est transmit des premiers grecs jusqu’aux vénitiens. Conquise par les Ottomans, ces derniers y découvrent une place prospère, ils y laissent une Ile appauvrie, archaïque. La présence anglaise assure à Chypre un véritable contact avec l’occident, ses idées, son commerce et s’y intègre jusqu’à devenir les « douanes du Levant ».

L’organisation du territoire, équilibrée à ses débuts, connaît une distorsion importante du fait d’une majorité écrasante de grecs (80% de la population) par rapport aux turcs locaux. Pour remédier à cette situation, le gouvernement hellénique recrute et forme essentiellement à Chypre et pour administrer Chypre une administration essentiellement grecque en remplacement des administrations britanniques déjà sur place et qui vont peut à peut quitter leurs fonctions sur l’Ile. De fait, l’Ile obtient un statut nouveau, l’Ile devient un Thème militaro-administratif Hellénique à part entière, une construction datant du régime du 4 aout et qui a survécue au second conflit mondial. La première mesure prise est de former des groupements d’agglomérations dirigées par deux personnalités, toutes deux élues par le conseil local et donc par la population et devant obéissance aux fonctionnaires et élus du Thème. Le Thème comme énoncé est administratif, il groupe l’intégralité des services d’imposition, le budget régional et bien évidement est le lien entre Athènes et son district et les communautés d’agglomérations formées à son échelon inférieur. Il a été décidé que la région serait confiée à un Stratège en raison de sa situation, en effet la terre de Chypre peut donner des motivations bellicistes à des Etats voisins. C’est donc un officier de l’armée qui dirige de concert avec un élu civil. La défense de Chypre, assurée par le Thème, lève ses premiers bataillons de conscrits (une bonne part des chypriotes le faisaient déjà, en Grèce) locaux et assemble une police faite de citoyens et sujets locaux. La présence Athénienne se traduit surtout par un afflux de finances en direction de l’Ile afin de soutenir un projet d’intégration soutenu et efficace du territoire et de sa population. L’administration mise en place étant en partie nouvelle, inexpérimentée, des hommes d’Athènes assureront le rôle d’auxiliaires durant les premières années avant de céder définitivement la place à des locaux.

L’école publique grecque s’impose progressivement via l’envoi de professeurs venus de Grèce continentale et pour toutes les couches de la population et toutes ses ethnies. Le peuple ne fait qu’un et c’est dans la Grèce qu’il doit se reconnaître. Ainsi, les héros enseignés ne sont autre que ceux de la Grèce éternelle, Périclès, Leonidas, Alexandre le Grand, Constantin 1er à titre religieux tout comme quelques empereurs romains (orientaux) et le dernier empereur de Constantinople, Constantin XI. L’armée du Thème capte 8 000 conscrits chypriotes grecs et 13 000 soldats conscrits ou professionnels aguerris mandatés par Athènes. Au total, la place se découvre 25 000 soldats très motivés dédiés à la défense de l’Ile aux côtés des forces britanniques avec 24 appareils à réaction. Vis-à-vis des infrastructures déjà en place, le chemin de fer doit se doubler de transports périurbains sur rails, le tramway doit être développé dans les principaux centres urbains (15km de tramway), les infrastructures portuaires doivent être restaurée et surtout les mines connectées (à terme) à des entreprises les exploitant (le cuivre notamment). Les chantiers navals seront modernisés et étendus. Enfin, les routes, ponts et autres infrastructures, le téléphone, passent dans le domaine public mais vont se voir rénovés en partie (si nécessaire). Les chypriotes bénéficient évidement de toutes les lois sociales déjà en vigueur en Grèce avec les arriérés, c'est-à-dire que les familles concernées par les aides votées début 1951 recevront d’office l’argent dédié à leur épanouissement depuis la mise en application de la Loi. Le Roi, décidé à marquer les esprits, réalisera au plus tôt une visite à Chypre et visitera l’Ile, découvrant son peuple aux côtés des autorités élues en fin d’année.

1951 – Armée

L’armée hellénique est le bouclier de l’Etat-nation hellénique, conçue comme une armée offensive sur un modèle Saint-Cyrien, disposant d’un réservoir humain conséquent et d’une excellente instruction militaire, l’armée de terre est peut-être au sommet de sa force depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cependant, l’armée hellénique dans son ensemble n’est peut-être plus à la hauteur des enjeux nouveaux, sa flotte n’est clairement pas suffisante, obsolète pour une bonne partie. Sa flotte aérienne est en partie vétuste. Enfin, ses matériels terrestres et sa masse salariale réduite n’est le résultat que d’un laissé faire pathétique et inconséquent et ceci depuis quelques années déjà. A l’âge des grandes armées, à l’époque des grandes épopées, face aux dangers orientaux qui menacent, l’armée hellénique se doit d’être une force sur laquelle il faut pouvoir compter en méditerranée. Pour ce faire, le système des Thèmes est secoué par le vote de l’assemblée qui entérine un projet de restauration des pleines capacités du service militaire au service des forces terres, celui-ci doit pouvoir brasser pendant deux ans dont neuf mois de formation initiale 140 000 hommes en complément des 60 000 hommes sous contrat (pour l’armée de terre). Cette force doit se diviser en de multiples formations et défendre le territoire national. La motorisation progressive et complète des forces armées exige de relancer l’industrie automobile du pays, autrefois Italienne mais aujourd’hui propriété publique. Un partenariat est proposé à l’industrie britannique en vue de satisfaire la demande hellénique, quelle soit militaire ou civile.

Division d’Infanterie Motorisée Type 1951

Formée de trois régiments d’infanterie motorisée, deux régiments d’artillerie (comprenant deux bataillons anti-aériens), un régiment antichar ainsi que d’un puissant service arrière motorisé, la division motorisée est la base de l’armée. Le tout pèse 15 000 hommes, 180 mortiers, 450 mitrailleuses, 150 pistolets-mitrailleurs, 600 lance-roquettes antichars portatifs, 96 tubes d’artillerie enrégimentés, 36 pièces antichars, 24 pièces anti-aériennes, une motorisation composée de 2500 véhicules de tout type. A cela s’ajoute des véhicules du génie (ponts mobiles, déminage etc…) étant lui-même endivisionné.

Brigade d’Infanterie de Montagne Type 1951

Formée en un régiment d’infanterie, deux bataillons d’artillerie et un bataillon anti-aérien, un bataillon antichar ainsi que d’une logistique réduite, c’est une unité d’appoint pour la sécurisation des territoires montagneux. Le tout pèse 7 500 hommes, 60 Mortiers, 150 mitrailleuses, 50 pistolets-mitrailleurs, 200 lance roquettes antichars portatifs, 24 tubes d’artillerie, 12 pièces antichars, 12 pièces anti-aériennes et une motorisation composée de 850 camions. A cela s’ajoute des véhicules du génie (ponts mobiles, déminage etc…), lui-même étant embrigadé.

Répartition des forces terrestres en 1951 :

Thème du Péloponnèse:

Thème d'Hellade:

Thème de Grande Thessalie:

Thème d'Epire:

Thème de Macédoine-Thrace:

Thème Maritime (Crête, Chypre, Egée et Eubée):

Total théorique : 164 000 hommes répartis en 7 brigades et 8 divisions.
Total réel prévu en 1954 : 138 000 hommes (avec exemptions et retards).

A cela s’ajoute le service arrière central et l’artillerie anti-aérienne régionale ce qui permet d’atteindre le chiffre de 200 000 grecs sous les étendards de l’armée de terre d’ici trois ans. Au début de l’année 1952 les nouveaux conscrits devraient arriver dans les casernes, portant l’effectif terrestre de 90 000 à 125 000 hommes.

Relations internationales

Royaume-Uni - Industrie automobile

Un partenariat serait une avancée dans nos relations commerciales. La Grèce a besoin de dizaines de milliers de véhicules civils et militaires, des camions, des motos, des voitures. Le capital des usines italiennes nationalisées pendant la seconde guerre mondiale est à vendre à hauteur de 60% chacune, leurs outils de production à moderniser et à étendre. La demande n’attend qu’une chose, une offre.

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