Croisade des Albigeois

Royaume de France





Contexte

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26 Janvier 1209, 10h02, bataille de Muret

Il était temps pour le Roi de France, Philippe II d’agir contre l’hérésie cathare. Une armée de 24 850 d’hommes le suivait afin de combattre au nom de Dieu et du Roi, leurs moral était au plus haut malgré que la plupart d’entre-deux revenaient d’une assez longue croisade contre les hérétiques musulmans en Espagne, il avait toutefois accumulé une expérience du combat qui pourraient être décisive dans les mois qui suivent. Alors que les troupes du Roi marchait depuis seulement quelques jours, ils tombèrent face à une importante armée composés d’hommes du comté de Toulouse mais aussi de cathares ayant prit les armes pour défendre leurs croyances hérétiques, tout cela près du village de Muret. Les troupes du Roi c’était placés dans les plaines afin de bien organisé son armée. Les arbalétriers étaient placés en premières lignes, et derrières eux se trouvaient une rangée de piquiers et de fantassins moyens. La cavalerie quand à elle était placés sur les 2 flancs (à gauche et à droite) avec un nombre importants d’archers et de fantassins légers. En 3ème lignes se trouvaient les fantassins lourds ainsi que quelques fantassins légers et enfin le Roi était bien entendu en dernière ligne avec sa garde habituel. Les troupes cathares avaient pris la décision d’attaquer uniquement le flanc gauche de l’armée française afin de mettre celle-ci en déroute et continuer leurs progressions sur le gros de l’armée française. Toute fois dès que le Roi avaient remarqué cela, il a fait pivoté son armée principale (au centre) et les arbalétriers et firent directement face aux troupes cathares, les archers français était également en position de tire. Lorsque le comte de Toulouse sonna la retraite c’était déjà trop tard, les arbalétriers et les archers avaient eu le temps de tiré 3 salves de carreaux mortelles et un important nombre de salves de flèche, un carreau d’arbalète a même mortellement touché Raymond-Roger de Foix, comte de Foix ! Cela ne manqua pas d’attiser la zizanie dans le camp adverse et plus particulièrement sur les troupes provenant de Foix, qui dès lors battirent en retraite. Mais les terribles gendarmes français n’allaient pas les laissez faire si facilement et chargèrent de plein fouet les troupes de Foix. Malgré que cette manœuvre cause le quasi-anéantissement des troupes de Foix, les pertes française étaient assez élevées et battirent en retraite au profit de la cavalerie légère bien plus mobile que les gendarmes. Malheureusement malgré cette mobilité indéniable beaucoup d’entre-deux périrent sous les lances des piquers toulousains. Le Roi prit alors la décision de lancer toutes ces troupes vers l’amas toulousain et de Comminges et lancé également le reste de sa cavalerie à l’arrière des troupes toulousaines afin d’abattre rapidement les archers ce qui fut une réussite total puisque personne n’a pu arrêter la cavalerie française. Les fantassins français chargèrent dès lors les troupes cathares et cela en suivit une terrible mêlée où les troupes françaises étaient sûres de gagner puisque ils avaient dès lors encerclé l’armée adverse. Malgré tout le comte de Toulouse à réussie à s’échapper ainsi que le comte de Comminges qui lui fut toutefois blésés par une flèche française qui ne la toutefois pas touché mortellement. La bataille est une victoire française.

Spoiler:

Pertes françaises : 4652 morts, 772 blessés et 0 disparus.
Pertes cathares : 15 717 morts (Dont ~ 11 500 paysans/miliciens), 226 blessés (prisonniers) et 0 disparus.


25 Février 1209, 6h55, Siège de Castelnaudary

Simon IV de Montfort pris la décision d’assiéger la ville de Castelnaudary et son château. Sa tactique était simple et consistait tout simplement à privé d’eau l’ennemi puis le submerger de par la large supériorité numérique des troupes françaises. Les troupes de Simon n’eurent aucune difficulté à détruire les puits et autres lieux où était stockée l’eau, mais malgré tout l’ennemi n’acceptait pas de se rendre et restait dans son château. Simon ordonna alors d’incendier toute la ville au prix de lourdes pertes civiles cathares mais surtout à la destruction quasi-complète de la ville. Lorsque le feu s’estompa enfin, Simon mit en place des échelles tout autour du château et les troupes françaises débarquèrent en grand nombre, pendant ce temps-là les fantassins lourds avaient forcé la maigre porte en bois et prirent à revers la garnison ennemie.

Pertes françaises : 3246 morts, 412 blessés et 2 disparus.
Pertes toulonnaises : 2560 morts (dont ~500 de milicien cathares), 80 blessés et 26 prisonniers (exécutés).

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1 Avril 1209, 10h21, Siège de Toulouse

Peu après la victoire française à Muret, le Roi Philippe II se dirigea avec son armée devant la ville de Toulouse. Raymond VI de Toulouse qui avait alors fuit lâchement la bataille de Muret c’était retranché dans sa capitale et espérait tenir jusqu’à ce que ses alliés reprennent leurs forces et contre-attaque ce qui est quasi-improbable vu le désastre que leurs à causés la bataille de Muret… Philippe II a pris la décision sans véritablement le savoir de couper lui aussi les réserves d’eau de Toulouse ce qui entraîna une sortie immédiate des troupes toulonnaise afin de les défendre, ce fut une courte mêlée qui certes fut gagné par les troupes françaises, mais c’était eux aussi qui avaient subi les plus lourdes pertes car absolument pas préparé à cette soudaine sortie toulonnaise…Malgré tous les réserves d’eaux de Toulouse fut bien détruite et le siège de Toulouse continu.

Spoiler:

Pertes françaises : 1154 morts, 88 blessés, 18 disparus.
Pertes toulonnaises : 498 morts, 48 blessés et 333 prisonniers.