[Guerre] Invasion du Sri Lanka

Fédération des Indes Orientales



Contexte

Spoiler:

Forces en présence

Spoiler:

ऑपरेशन ओरियन
Ŏparēśana Ōriyana
Opération Orion

9 janvier 2018, New-Delhi, Fédération des Indes Orientales

Suite aux évènements du 8 janvier 2018 au pont d'Adam où plusieurs dizaines de civils indiens et tamouls furent massacrés par la police srilankaise, le Chancelier et homme fort du pays Rajnath Singh convoqua la totalité de son cabinet ainsi que les présidents de la Fédération, du Sénat et du Congrès en plus de l’État-Major au grand complet. Au 7 Race Course Road où est située la Chancellerie, le groupe rassemblant les personnes les plus influentes de la Fédération s'est dirigé dans l'un des nombreux salons sécurisés de la résidence pour débattre des récents évènements concernant son voisin sudiste, évènements qui provoquent le déchaînement de la population et des médias à travers tout le pays. Après plusieurs heures de discussions intensives, il était décidé que la Fédération des Indes Orientales débuterait une guerre totale dès le lendemain contre le Sri Lanka pour avoir abattu des civils indiens et oppressé le peuple tamoul. Ainsi, les dispositions furent prises durant toute la nuit pour assurer le bon déroulement du plan du Chancelier qui prit le nom de code "Opération Orion". Tout d'abord, Rajnath Singh décida de garder le même rang sur l’Échelle Fédérale de Défense qu'est le SSR-2 qui consiste en ceci :

¤ SSR-2 (situation de guerre potentielle) : des pressions extrêmes sont exercées sur la Fédération des Indes Orientales. Les Forces Armées Fédérales sont totalement mobilisées. Les Forces Fédérales de Police sont placées sous la direction du Ministère de la Défense et non plus du Ministère de l'Intérieur. Les services secrets opèrent des missions de renseignement, d'espionnage et de déstabilisation (morale et logistique) sur l'ennemi, la surveillance intérieure est totale (système NETRA notamment). Les missiles balistiques (en silo, en sous-marin et en véhicule) conventionnels et nucléaires sont parés à faire feu, sur ordre de la Chancellerie. Les sous-marins nucléaires se positionnent à travers le Monde (suivant des coordonnées stratégiques effacées après définition), les deux flottes inspectent l'Océan Indien à la recherche d'ennemis potentiels et les Forces Fédérales Aériennes patrouillent au dessus du territoire. Les systèmes de défense antimissiles (SAM) sont positionnés à des endroits stratégiques et prédéfinis par le Haut-Commandement. La Présidence de la Fédération, la Chancellerie, le Gouvernement, les Présidents du Congrès et du Sénat, ainsi que l’État-major sont placés dans un bunker secret.

Suite à cela, le groupe de personnes les plus influentes du pays fut transféré de la Chancellerie à un bunker secret situé sous le Parlement indien. Les Forces Armées Fédérales sont totalement mobilisées sur le territoire indien : l'Eastern Fleet of the Federal Marine se dirige vers l'Est du Sri Lanka, tandis que la Western Fleet of the Federal Marine patrouille dans la Mer Arabe; les deux portes-avions que sont le navire amiral (de la Marine et de l'EFFM) INS Viraat (30 chasseurs et 10 hélicoptères) et le navire amiral (de la WFFM) INS Vikramaditya (20 chasseurs et 10 hélicoptères) sont équipés de leurs aéronefs, tandis que les sous-marins nucléaires se déploient dans les océans Indien, Pacifique et au niveau du Cap et sont équipés de Shaurya (portée de 700km) et d'Agni-III (portée de 4000km). Quelques chasseurs des Forces Fédérales Aériennes patrouillent dans l'espace aérien indien, alors que la moitié de ceux de la zone stratégique sud-est sont équipés. Les Forces Fédérales Terrestres sont les plus mobilisées : deux brigades sont déployées dans les îles Andaman-et-Nicobar, accompagnées de SAM, de SAA et de missiles balistiques Agni-II (portée de 2000km). Sur le reste du territoire, ce sont la totalité des Forces Fédérales Terrestres qui sont mobilisées dans leurs zones stratégiques respectives et qui sont positionnées aux frontières (notamment avec la Chine et le Pakistan). La base aérienne de Farkhor (seule dispositif militaire indien en dehors de son territoire) dans la République du Turkestan est mis en alerte et voit le déploiement de trois escadrons de Su-35BM et d'un escadron de MiG-35. Les Forces Fédérales de Police sont placées sous l'autorité du Ministère de la Défense qui vient d'autoriser les contrôles au faciès, tandis que le système NETRA (dispositif de surveillance militaire d'Internet qui sera activité en tant de guerre : il a pour objectif d'intercepter et de supprimer des e-mails, messages, blogs, sites ou encore images suivant des filtres prédéfinis) est quant à lui mis en route. Les services secrets indiens sont totalement mobilisés : à l'intérieur, l'opposition est surveillée ainsi que les extrémistes musulmans et hindous; à l'extérieur, des espions sont déployés aux frontières de nos pays voisins pour surveiller les mouvements de troupes.

Ainsi, la totalité de la Fédération des Indes Orientales ainsi que ses voisins sont surveillés de très près grâce au SSR-2, tandis que le Sri Lanka est devenu la nouvelle cible des Forces Armées Fédérales et de l’État indien par l'Opération Orion.

Spoiler:

10 janvier 2018, golfe de Mannar, Sri Lanka

A 4h du matin, Nirmal Kumar Verma, amiral de l'Eastern Fleet of the Federal Marine et ancien amiral en chef, était à bord du tout nouveau porte-avions indien et nouveau fleuron de la marine, l'INS Vikrant. Scrutant l'horizon avec ses jumelles alors que l'EFFM voguait dans l'Océan Indien, la cabine de commandement recevait un appel de New-Delhi, un appel capital. Un second décrocha et tendit directement le combiné à l'amiral Verma qui prit l'appel avec un calme habituel. Après deux minutes de discussions discrètes durant lesquelles les marins aux alentours restaient figés, attendant les ordres, l'homme raccrocha, se tourna vers son second et lui donna les ordres de l’État-Major : l'Eastern Fleet of the Federal Marine doit se diriger au large du Sri Lanka, dans le golfe de Mannar, pour détruire la flotte dorénavant ennemie et commencer un pilonnage des positions terrestres srilankaises à l'aide de l'aviation.

Spoiler:

A 6h du matin, l'Eastern Fleet of the Federal Marine pénétrait dans la zone économique exclusive ouest du Sri Lanka, située dans le golfe de Mannar. Face à une telle présence maritime, les six patrouilleurs srilankais furent déployés en totalité et se lancèrent en direction de la flotte indienne, même si la grandeur de la menace ne fut pas détectée par le gouvernement ennemi. En effet, les radars adverses permettaient de détecter une présence maritime étrangère à une certaine distance, mais le nombre et la taille de ces cibles n'étaient pas pris en compte par les radars srilankais vieillissants et en plus d'origine chinoise. Ces dispositifs étaient en totale contradiction avec les radars indiens qui eux, présents sur le navire amiral INS Vikrant, détectèrent, parmi les bâtiments civils, les patrouilleurs ennemis qui se déplaçaient à grande vitesse à l'encontre de l'EFFM. Voulant arrêter au plus vite cet assaut pour garder un minimum de discrétion, l'amiral en chef Nirmal Kumar Verma lança trois frégates de classe Shivalik Mk-2 pour assurer leur destruction.

Spoiler:

Lorsque les patrouilleurs srilankais furent à portée des missiles BrahMos-2 indiens embarqués sur les frégates de classe Shivalik Mk-2, les commandants indiens donnèrent l'ordre de faire feu sur la flotte entière ennemie. Ainsi, ce sont 24 missiles anti-navires qui furent tirés sur les patrouilleurs ennemis, chaque bâtiment srilankais recevant donc quatre missiles de croisière BrahMos-2. La vitesse de ces derniers, pouvant aller jusqu'à Mach 7, permis aux frégates indiennes de rester hors de portée des armes srilankaises. Cependant, l'un des patrouilleurs eut le temps avant d'être détruit de tirer sur la frégate indienne INS Satpura un missile Dhanush qui fut heureusement détruit par le système Shtil-1. Ainsi, la flotte ennemie est complétement annihilée et l'EFFM est postée dans le golfe de Mannar pour débuter le pilonnage des positions terrestres.

Pertes indiennes : aucune
Pertes srilankaises : totalité de la flotte détruite

10 janvier 2018, golfe de Mannar et côte Ouest, Sri Lanka

Après avoir sécurisé la zone économique exclusive ennemie grâce à la destruction de la flotte srilankaise par l'Eastern Fleet of the Federal Marine commandée par l'amiral en chef Nirmal Kumar Verma, les bâtiments fédéraux allaient pouvoir suivre les nouvelles recommandation de New Delhi. Ainsi, alors que les portes-avions que sont l'INS Vikrant (30 MiG-29K et 18 Mi-8MTV-5) et l'INS Vikramaditya (20 MiG-29K et 10 Mi-8MTV-5) préparaient les premières frappes sur les dispositifs militaires srilankais de la côte Ouest, le reste de la flotte allait sécuriser les passages des navires de transports de classe Shardul (d'une capacité de 500 soldats et de 30 blindés) qui allaient bientôt débuter, en plus d'un blocus effectif imposé au Sri Lanka.

Spoiler:

Les ordres ayant été reçus, ils furent rapidement exécutés par les amiraux et généraux indiens. Tout d'abord, les 60 Su-30MKI, 50 MiG-29K, 20 Tejas Mk-2, 15 Rafale C et 5 T-50 Pak/Fa mobilisés pour l'Opération Orion décolèrent que ce soit des portes-avions de l'EFFM ou des aéroports militaires de Madurai et de Thanjavur. Ensuite, la supériorité aérienne devait être assurée par les Forces Armées Fédérales Aériennes : face aux J-7 et MiG-27 srilankais, les 150 chasseurs indiens n'eurent pas de mal à dominer rapidement l'espace aérien ennemi après des combats rapides durant lesquels l'absence totale des SAM et SAA ennemis et la présence des missiles air-air Astra indiens, qui furent d'une qualité exceptionnelle, permirent d'octroyer une nouvelle victoire à la Fédération. Après avoir assuré la supériorité aérienne des Forces Armées Fédérales, les premières frappes furent opérées sur les bâtiments administratifs principaux de Colombo, ainsi que sur les infrastructures militaires stratégiques tels que les aéroports et les bases militaires.

Spoiler:

Suite à la mise en place de la supériorité aérienne fédérale, d'un blocus de l'île ainsi que d'un pilonnage intensif des zones stratégiques gouvernementales et militaires ennemies, l'invasion terrestre du pays allait pouvoir débuter.

Pertes indiennes : aucune
Pertes srilankaises : totalité des forces aériennes détruites, infrastructures militaires et gouvernementales pilonnées

10 janvier 2018, district de Kilinochchi, Sri Lanka

A midi, une fois la supériorité aérienne assurée, la flotte aérienne et maritime srilankaise anéantie et les principales infrastructures militaires et gouvernementales pilonnées par les Forces Aériennes et Maritimes Fédérales, les Forces Armées Fédérales Terrestres dirigées par le général Bikram Singh allaient rentrer dans la danse. En effet, les neuf transporteurs maritimes mobilisés de classe Shardul (d'une capacité de 500 soldats et de 30 blindés) commençaient les allés et retours du continent indien au district de Kilinochchi, tandis que des centaines d'An-124-300, d'Il-76MD-90A, de C-130J Super Hercules, de Dhruv Mk-3, de Mi-8MTV-5 et de Mi-26M parachutaient ou débarquaient des troupes en rase campagne pour solidifier les positions tamouls. Ce dernier point mérite en effet des explications : suite à la déclaration de guerre de la Fédération des Indes Orientales contre le Sri Lanka et à l'anéantissement de deux branches sur trois des forces armées ennemies, les révolutionnaires tamouls décidèrent de se rebeller et de s'allier derrière la Chancellerie pour contrer leur oppresseur. Ainsi, les Forces Armées Fédérales bénéficient déjà de têtes de pont terrestres tamouls, consolidées par les parachutistes et les premiers débarquement indiens.

Spoiler:

Aucun combat n'est à signaler jusqu'ici puisque les troupes fédérales débarquent dans le district de Kilinochchi, région sous contrôle tamoul et donc allié.

Spoiler:

Ainsi, un premier jet militaire constitué de 16 500 soldats, 150 T-90MS, 50 Arjun Mk-2, 200 BMP-II, 150 Abhay, 50 BMPT Ramka, 400 BTR-90M, 200 VBCI, 100 VBL, 100 GAZ-2975 Tigr, 200 Soltam K6, 50 M777, 25 FH77 B02, 25 D-30M, 50 2S19M1-155 Msta, 25 M-46 Catapult, 100 Pinaka Mk-2, 50 9A52-4 Tornado, 20 LAROM, 10 BM-30 Smerch 9K58, 2 TOS-1, 50 A3I-1 Igala, 50 Akash et 25 PADS-1 Gaya est présent sur l'île srilankaise et est prêt à libérer le pays sous peu.

Pertes indiennes : aucune
Pertes srilankaises : la moitié du pays est passé sous le contrôle tamoul/indien

Carte et résumé de la situation

Spoiler:

Fédération des Indes Orientales

Le Chancelier Fédéral des Indes Orientales, Rajnath Singh.

Nous tenons à rappeler aux pays s'opposant à cette opération les circonstances d'une telle attaque : les incidents du pont d'Adam auraient propulsé n'importe quelle nation dans une guerre de libération du peuple tamoul. Nous sommes ainsi désolés d'apprendre que certains gouvernements préfèrent l'intégrité territoriale à la liberté d'une population civile.

République Fédérative du Brésil

Nous soutenons l'action de la FIO qui agis dans le but d'unir à elle un peuple qui n'as plus confiance en un gouvernement qui préfère agir dans ces intérêts et tirer sur sa population alors que rien ne l'y obliger.

Par ailleurs nous trouvons ironique que la République de Serbie soit contre alors qu'elle même à crée l’Union des Républiques Panslaves justement dans le but d'unifier les pays panslaves.

Fédération des Indes Orientales

Le Chancelier Fédéral des Indes Orientales, Rajnath Singh.

Les membres du Traité de l'Indo-Pacifique, dont nous sommes uniquement observateurs, n'ont pas à intervenir dans ce conflits et n'interviendront sous aucuns prétextes.

Pour réagir aux propos de la République Turque, nous estimons notre situation actuelle (concernant le Sri Lanka et le Bangladesh) comparable à la votre en Chypre. En effet, des peuples voisins qui ont fait le vœu de se rattacher à la Fédération des Indes Orientales ont été persécutés par leurs gouvernements pour éviter qu'une potentielle union puisse avoir lieu; notre opération a donc pour seul but de libérer les peuples tamouls et srilankais, les réconcilier pour au final créer une entente parfaite au sein de la Fédération. Nous comprenons les méfiances des nations étrangères, telles la Turquie ou l'Union des Républiques Populaires d'Asie, et espérons que ces explications supplémentaires vous feront changer d'avis.