[Conflit] Campagnes Italiennes.

par **Eindes** Jeu 8 Nov 2012 - 1:37

Royaume d'Italie :globe:

Spoiler:

Le Royaume d'Italie entre officiellement en guerre contre la République Française et le Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord. Aucune déclaration ne sera faite, il s'agit d'une attaque surprise.

Contexte.

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Forces en présence.

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Opération Tramonto. Première partie : destruction des ports commerciaux méditérrannéens.

Ordre de Bataille :

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A Rome, Il Duce ne s'étonnait pas à voir la France et le Royaume-Uni entrer en guerre contre l'Allemagne qui pourtant était en parfait droit de revendiquer ses territoires volés. De même, Benito Mussolini avait toujours quelques rancunes envers la France et le Royaume-Uni depuis la conférence de Munich. Il a donc décidé d'organiser les représailles italiennes, et elles seront violentes. Des rapports ont indiqué que les forces alliés n'avaient aucune pitié pour les civils allemands, alors l'Italie n'en aura pas pour les civils français. L'Opération Tramonto, en ce début de soirée d'hiver 1939 allait avoir lieu. Elle allait mobiliser une grande partie de la Marine Royale car la flotte française devait être dense aux environs de Marseille, la ville ciblée. L'Opération consistait à neutraliser la flotte française et à incendier cette grande ville du Sud, à l'industrie diffuse mais qui est également un centre commercial crucial pour les échanges avec les colonies.

L'Italie engageait alors plus de 200 navires de surface ainsi que 15 sous-marins qui se dirigeaient dangereusement vers les côtes françaises pour une bataille navale qui s'annonçait être une des plus grandes de l'histoire. Mais les généraux italiens trouvaient que quelque chose clochait. Il n'y avait rien, pas même un navire de patrouille. Tout d'abord, les italiens croyaient à un piège mais quand ils aperçurent des navires de commerce se diriger vers Marseille, l'immense flotte poursuivit alors son chemin sans broncher. Si la France se serait préparée à une attaque navale italienne, elle n'aurait certainement pas eu la négligence d'utiliser les voies maritimes les plus exposées à cette attaque imminente. Et quelle négligence ! Aucun navire de guerre ne se présentait, cependant la flotte italienne, s'approchant de Marseille ne passait pas inaperçue.

Il fallait faire vite. De terribles détonations résonnèrent dans la mer : les navires de guerres ciblaient tout d'abord l'immense port de Marseille. L'impact des obus démesurés des navires sur l'édifice entraîna un bruit effroyable mais pire encore : un incendie se déclarait. En effet les ressources inflammables comme le pétrole favorisait la propagation du feu. La nuit tombait alors que tout le port commençait à brûler. Cependant les navires ne se replièrent pas tout de suite. Profitant de l'absence de navires ennemis, ils effectuèrent de nouveaux tirs sur les bâtiments, les industries et le chantier naval présents. En quelques dizaines de minute, c'est toute la ville qui était sous les flammes. Ordre était donné à la Marine Royale de se retirer sous le champ. Elle retournait au large des côtes italiennes pour se préparer à toute nouvelle éventualité tandis que les sous-marins tâchaient de détruire tous les navires commerciaux au large du port. Certains navires où l'équipage se rendait furent réquisitionnés par la Marine de Guerre et détournés au profit de l'Italie. La Marine Royale se retirait tout en restant assez près des côtes françaises.

Une nouvelle voie maritime commerciale fut alors découverte et elle affluait vers Toulon. La Marine italienne s'empressa de détruire également le port commercial de cette ville comme fait précédemment pour Marseille. Cependant Rome donna l'ordre aux navires de rentrer le plus vite possible. Ainsi, le reste de la ville de Toulon fut épargné.

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Pertes françaises : Environ 25 000 civils morts, destruction et incendie de la ville de Marseille et de son important port commercial, destruction de 10 navires commerciaux, capture de 3 navires commerciaux par la Marine Royale, destruction du port commercial de Toulon.

Pertes italiennes : Aucune.

Deuxième partie : la capture de Nice.

Ordre de Bataille :

Spoiler:

Alors que la Marine Royale se préparait à attaquer les côtes françaises, l'Armée Royale était en marche. Ou plutôt en route car elle était très motorisée. L'offensive menée était une offensive majeure mais qui devait, paradoxalement à ça, être menée rapidement. La France était enlisée contre l'Allemagne, il était probable que la grande partie de son armée soit tournée contre la Wehrmacht. L'Armée italienne devait frapper vite, mais fort surtout.

A l'arrivée au niveau de la frontière, on signalait une importante concentration de militaires. Selon la reconnaissance organisée par les nombreuses brigades d'AB40/41, il ne s'agissait pas de militaires professionnels. Mais qu'importe pour les généraux italiens de la nature de ces soldats. L'infanterie italienne passait alors en seconde ligne tandis que les chenillettes et les chars légers L6/40 allait ouvrir le feu sur cette masse de soldats français, avec des mitraillettes évidemment. Lorsque les premiers coups de feu furent entendus, le général italien Graziani, qui menait l'offensive pensait tout bas : "Ça y est, nous y voilà...".

La réaction française aux mitrailleuses italiennes fut immédiates. Rapidement, des chars moyens D2 et même des chars lourds B1 se joignirent aux combats qui s'étendaient sur une dizaine de kilomètres désormais. La reconnaissance était cependant en avance. La moindre forêt était parsemée de brigades d'auto-blindées qui communiquaient aux généraux les blindés ennemis qui étaient en route.

Suite à l'arrivée des B1 et des D2, les chars légers L6/40 étaient en mauvaise passe. Le blindage surprenant des chars lourds B1 était une très mauvaise surprise pour l'armée italienne. Les canons anti-chars italiens allaient alors être massivement sollicités. Et ils étaient nombreux, beaucoup plus nombreux que les chars ennemis. En effet 50 brigades de canons anti-char ouvrirent le feu sur une quarantaine de kilomètres tout le long de la frontière. Face à cette écrasante supériorité terrestre, l'armée française n'eût d'autre choix que de se replier. C'est du moins ce qu'elle voulait faire, mais l'armée italienne n'arrêtait pas d'avancer. Son objectif : Nice. Et pour atteindre cette destination, l'offensive allait doubler d'envergure. Les avions d'attaque au sol, les chasseurs et bombardiers italiens commençait à attaquer et à bombarder l'avant-garde française. Sans surprise, les canons anti-aériens et les quelques avions français forçaient les avions italiens à se replier. Cependant les bombardiers étaient si nombreux qu'ils avaient très rapidement neutralisé une grande partie de la résistance française dans la ville. Les troupes françaises étaient dispersées tandis qu'une partie de Nice était déjà détruite après les bombardements.

Pendant ce temps, l'armée royale continuait d'avancer sur plusieurs kilomètres à un rythme insolent. Nice n'était plus très loin. La bataille pour la ville était sur le point de se déclencher, alors que les armées un peu plus au Nord convergeaient vers la ville. Les Italiens s'attendaient à de nombreuses embuscades tendues par les Français, et c'était le cas. Les blindés italiens quant à eux ciblaient tout d'abord les canons anti-aériens. Une bonne partie venaient d'être détruits. L'Aviation Royale fit alors son grand retour, mais aucun bombardier n'avait été engagé. Les Italiens ne cherchaient pas à détruire la ville car ils voulaient la capturer et s'approprier le dernier port commercial d'ampleur qui restait à la France ainsi que l'aérodrome niçois. L'Armée de l'air Française engagea alors l'Aviation Royale au dessus de Nice et de ses environs mêmes. Cependant la DCA italienne tenait en respect la plupart des avions françaises et elle était sous autre protection des chenillettes, des canons anti-char ainsi qu'une partie de l'infanterie italienne. Les chars B1 restaient le principal problème pour les blindés italiens. Seuls les canons anti-chars pouvaient les détruire, ou les avions d'attaque au sol. Mais comment cibler facilement ces chars qui se tenaient embusqués à chaque coin de rue ? Les pertes italiennes étaient importantes. Néanmoins, l'Armée Royal parvint finalement à neutraliser les divisions blindées françaises qui étaient fort heureusement très peu nombreuses.

Spoiler:

Pendant ce temps, plusieurs brigades de militaires professionnels et non-professionnels commencèrent la capture du port. Les marchandises présentes étaient pillées. Il y avait de tout : du textile, du pétrole, des minerais... C'est donc chargés que les camions de ravitaillement repartaient vers l'Italie après avoir alimenté les réservoirs de chars. Par mesure de sûreté, ils étaient accompagnés de 3 brigades de chars légers L6/40. Au bout de plusieurs heures de combat, le port était capturé, la ville était partiellement détruite mais sécurisée. L'armée italienne allait stationner ici pour le moment et se préparait à la contre-attaque française. Des barricades de fortunes étaient déployées avec des mitrailleuses aux abords de la ville. La reconnaissance couvrait un périmètre de 10 kilomètres autour de Nice, désormais aux mains des Italiens. L'artillerie était également placée derrière les barricades, les chars légers étaient en dehors de la ville. Seule une grande partie de l'infanterie restait au milieu de la ville. La plupart des avions étaient également posés au sol ou sur l'aérodrome niçois.

Spoiler:

Pertes françaises : 1 brigade de chars lourds B1, 2 brigades de chars moyens D2, 2 brigades de chars légers H35, 2 brigades d'auto-mitrailleuses, 1 escadron d'avions de chasse, 1 escadron d'avions d'attaque au sol, 5 brigades de militaires professionnels, 44 500 mobilisés, 5170 civils, perte du Port de Nice (le dernier port commercial conséquent de France) et capture de la ville par les italiens.

Pertes italiennes : 8 brigades de chars légers L6/40, 8 brigades de militaires professionnels, 10 brigades de militaires non-professionnels, 4 brigades d'auto-blindées AB40/41, 2 escadron de 750 Macchi C.200, 2 escadron de Breda Ba.65, 2 brigade1 de canons anti-char, 1 brigade de canons anti-aériens.

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Campagne d'Egypte.

Ordre de bataille :

Spoiler:

Sous le commandement du général Pietro Maletti, l'armée italienne qui stationnait en Libye allait procéder à une vaste offensive en Egypte, colonie britannique en guise de représailles contre le Royaume-Uni. Cependant l'objectif était avant-tout de capturer le canal de Suez, un détroit maritime d'une importance cruciale pour les grands Empires britannique et français qui leur permettent de commercer respectivement avec les Indes et l'Indochine notamment. C'est en hiver 1939 que l'armée italienne allait attaquer l'Egypte, car la météo était plus clémente à cette période de l'année, et même en Afrique du Nord, les températures ne dépassant jamais les 30 degrés celsius. Il Duce, ainsi que les généraux italiens pensaient qu'il serait important d'atteindre le Canal de Suez le plus rapidement possible, pour ne pas que la fragile mécanique des chars L6/40 et des chenillettes ne doivent affronter la chaleur du désert en plein été. Par ailleurs, les généraux italiens planifiaient des avancées plus poussées lors de la matinée et en soirée, tandis que les divers entrepôts des villes égyptiennes seraient réquisitionnés en cas de fortes températures, pendant l'été.

L'attaque commença dès le lendemain matin, très tôt, vers 4 heures pour que l'armée italienne puisse avancer le maximum. Comme en métropole, la même stratégie était effectuée dans les colonies : la reconnaissance était déployée sur un grand secteur et avec quelques kilomètres d'avance sur les chars, les anti-chars et enfin l'infanterie et l'artillerie. Pendant ce temps, les avions italiens surplombaient le ciel et les premiers bombardements eurent lieu sur les diverses fortifications de fortune mise en place. L'Armée royale continuait d'avancer à vive allure sur terre. Il y avait parfois de la résistance indigène, mais aucune trace significative de forces britanniques si ce n'est quelques volontaires recrutés à la va-vite. Si l'armée italienne avançait vite, elle prenait déjà ses précautions. Pour assurer le ravitaillement, quelques brigades dispersées d'auto-blindées AB40/41 descendaient vers le Sud pour prévenir de toute contre-attaque venant du désert égyptien. Cela restait peu probable, car le plein désert n'était pas le meilleur endroit pour faire progresser des divisions blindées voire même de l'infanterie sur des milliers de kilomètres.

Spoiler:

Finalement, après 30 kilomètres d'avancée, l'armée britannique apparaissait enfin et se caractérisait par une soudaine vague d'avions particulièrement nombreux. Malheureusement pour eux, les avions italiens n'étaient pas à la hauteur, loin de là. Les bombardiers et les avions d'attaque au sol se repliaient. Cependant le général italien pouvait constater qu'aucun avion de la Royal Air Force ne s'attaquait aux blindés qui continuaient d'avancer. Et pour une raison bien simple : il n'y avait aucun bombardier et ou avion d'attaque au sol. C'était une erreur stratégique évidente pour l'armée britannique : les avions italiens commençaient à se replier tandis que les nombreux canons de DCA italiens tiraient tranquillement sur le nuage d'avions ennemis. Les canons anti-aériens étaient évidemment hors de portée pour l'infanterie britannique qui se faisait décimer par les divisions blindées italiennes, l'artillerie, les unités de reconnaissances, ainsi que par les chenillettes. La victoire italienne était écrasante et les pertes militaires britanniques étaient conséquentes. Cependant, après une telle démonstration de la supériorité numérique de la Royal Air Force, le général Maletti a demandé un renfort de 60 canons anti-aériens et de 150 chasseurs Macchi C.200 qui étaient restés en Libye.

Spoiler:

Pertes britanniques : 450 indigènes, 6 brigades d'infanterie, 3 escadrons de chasseurs.

Pertes italiennes : 1 brigade de militaires professionnels, 1 escadron de chasseurs, 1 escadron d'avions d'attaque au sol, 1 brigade de chars légers, 1 brigade d'auto-blindées.

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Campagne du Somaliland britannique.

Ordre de bataille :

Spoiler:

Depuis l'Ethiopie, l'armée italienne se préparait à attaquer le Somaliland britannique dont la situation géographique était jugée "gênante". Il s'agissait d'une invasion préventive, elle devait donc se faire rapidement et pour ce faire l'armée était scindée en deux : l'armée de l'Ouest dirigée par Pietro Badoglio et l'armée de l'Est dirigée par Mario Berti. Pourquoi l'invasion était elle préventive ? simplement par le fait que les généraux craignaient une prise en étau de l'Ethiopie par les Britanniques du Soudan et du Somaliland.

L'armée italienne s'engouffra plus facilement que prévu dans le territoire indigène des Britanniques, à environ une dizaine de kilomètres du littoral. Une fois que les deux armées auront suffisamment avancé le long des côtes, elles feront la jonction tout en avançant vers l'arrière pays, c'est à dire au Sud pour que le Royaume-Uni ne puisse pas envoyer de forces au Somaliland depuis la métropole. Les généraux italiens s'attendaient déjà à beaucoup de ténacité pour défendre cette colonie mais il n'y avait rien. Les divisions blindées et de reconnaissances, équipés de mitraillettes ne firent qu'une bouchée des volontaires indigènes recrutés à la va-vite. De même, l'étau italien se refermait petit à petit sur le littoral du Somaliland. Conscient que le Royaume-Uni ne pourrait jamais se défaire de l'Armée de l'Est seule à l'heure qu'il est puisque la majeure partie des côtes étaient occupées, le général Pietro Badoglio a décidé d'organiser un demi-tour et de rediriger ses troupes en direction du Soudan, car les représailles n'allaient pas tarder à s'organiser là-bas alors que les toupes restantes en Ethiopie était dérisoire. L'Armée de l'Est quant à elle, continuait d'avancer sans difficulté dans le Somaliland. L'artillerie embusquée, les bombardiers ainsi que les avions d'attaque au sol de cette même armée stationnaient sur le littoral, prêts à contrer toute tentative de débarquement.

Spoiler:

Pertes britanniques : une centaine de volontaires indigènes, quelques petits centres commerciaux du Somaliland.

Pertes italiennes : négligeables.

par **Caoki** Jeu 8 Nov 2012 - 20:51

Tu n'évoques même pas la ligne Maginot dans l'attaque italienne du Sud-Est de la France. Les italiens avaient été très facilement bloqués à la ligne Maginot en 1940. Je t'attends sur la chatbox dès que possible.

par **ZcommeZorro** Ven 9 Nov 2012 - 13:41

Je me permet de dire que je trouve les pertes britanniques en Egypte légèrement exagérées...

par **Caoki** Sam 10 Nov 2012 - 0:50

En attente de la précision de la répartition des forces armées britanniques dans un post de ZcommeZorro.

par **ZcommeZorro** Sam 10 Nov 2012 - 12:53

Royaume-Uni

-Bataille d'Egypte-

L’attaque sur l’Egypte par l’Italie n’est pas réellement surprenante, en effet, le Royaume Uni s’est toujours méfié de ce pays autoritaire, assombrit dans la haine et l’intolérance. Il est incontestable de dire que nous n’étions pas préparés à une attaque de cette ampleur et que la victoire italienne est une issue logique à cette première bataille. Les forces égyptiennes n’étaient certainement pas prêtes et pas assez nombreuses pour contenir une telle attaque.
Les pertes après ces affrontements sont lourdes, plus de 25 000 soldats morts au champ d’honneur.

Après que les puissants de l’Angleterre ait apprit la terrible nouvelle, c’est le Général Montgomery qui fut désigné pour organiser la contre-attaque.
Le Général lui-même est envoyé sur le sol égyptien pour superviser les opérations. (Alexandrie)

Spoiler:

Forces présentes en Egypte : 30.000 soldats, quelques dizaines de blindés.

L’armée égyptienne est au plus mal, un rapide renfort doit être fait pour repousser l’avancée diabolique des italiens.
Le Couronne Britannique fait appel aux soldats Chypriotes et à toutes les forces armées sur l’île de partir immédiatement pour l’Egypte.

Soit plus de 25 000 soldats, 2 brigades d’obusiers Ordnance 25, 3 brigades de chars légers Mk-I, les 10 Destroyers F-class postés à Chypre serviront à empêcher la Marine italienne de couler les navires arrivant de la métropole.

En plus de ces soldats, la métropole va envoyer au plus vite, le Porte-Avions HMS Ark-Royal avec à son bord 72 chasseurs Hurricane Hawker accompagné de HMS Eagle qui lui transportera 30 bombardiers Stirling et 50 chasseurs HH. Les navires de transport de troupes vont quand à eux emmener 15 brigades de professionnels, 15 brigades d’obusiers Ordnance 25, 15 brigades d’auto-mitrailleuses, 20 brigades de chars légers Mk-I ainsi que 5 brigades de DCA.

L’ordre de mobilisation générale fut donné en Egypte et plus de 25 brigades fut donc formées.

-Opération Thunderbolt-

Alors que le transfert de troupes s’était fait dans le calme et que la marine italienne était encore occupée dans le Sud de la France et en Grèce, les premiers ordres du Général Bernard Montgomery furent donnés.

Forces présentes

175 000 soldats (3 000 mitrailleuses Vickers)
510 Obusiers Ordnance 25
122 chasseurs Hurricane Hawker
30 bombardiers Short Stirling
550 autos-mitrailleuses
690 chars

Armée I

100 000 soldats
90 obusiers Ordnance 25
90 chars légers Mk-I
100 autos-mitrailleuses
3 000 mitrailleuses Vickers

Armée II

35 000 soldats
210 obusiers
300 chars
225 autos-mitrailleuses

Armée III

40 000 soldats
210 obusiers
300 chars
225 autos-mitrailleuses

Royal Navy

10 Destroyers de classe F
2 Porte-Avions

La guerre s’annonçait sanglante, comme Monsieur Churchill l’avait précédemment dit dans son discours : Je n'ai rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur.
La stratégie militaire qi allait être adoptée pour cette bataille était antique et existant depuis plus de deux millénaires, la tactique du « marteau et de l’enclume » ayant déjà fait ses preuves et étant très efficace. Les forces terrestres britanniques étaient donc divisées en 3 armées, l’Armée II et III ayant peu de soldats et beaucoup de blindés et d’artillerie comme l voulait cette stratégie ambitieuse, l’Armée I quand à elle comptait plus de 100 000 soldats et peu de blindés.
Un aide de la part des portes avions allait être effectuée, les Généraux sur place n’ayant pas évalué les effectifs de l’armée de l’air italienne il était impossible de dire si les héros de la RAF allaient prendre l’avantage ou si l’aviation italienne serait trop importante.

Spoiler:

C’est à 14h00 que les premiers directifs furent donnés. Pas un seul nuage de gâché ce ciel turquoise, la température atteignait presque les 40°. Les actions devaient êtres coordonnées, c’est tout d’abord 60 chasseurs Hurricane Hawker, qui eu l’honneur de voler gracieusement dans le ciel immaculé d’Egypte. L’horizon troublé par la chaleur, les premiers chasseurs italiens apparurent, c’est alors que les pilotes aperçut au sol de nombreuses pièces d’artillerie, impossible à cette altitude d’estimer s’il s’agissait de canon anti-chars ou anti-aériens… Les premiers tirs de DCA qui ouvrirent ce bal funeste fut une réponse. Dés les premiers tirs, qui créait un énorme vacarme dans le désert silencieux, un avion touché à l’aile gauche tomba impuissant au sol.
L’aviation italienne était bien trop importante et les 60 malheureux HH ne pouvant contenir plus longtemps les Macchi C.200 qui se battaient avec une ténacité et une ardeur sans nom.
C’est alors que les renforts composés 62 chasseurs Hurricane Hawker et de 30 bombardiers Short Stirling s’élancèrent au combat, les bombardiers ayant pour objectif de bombarder les positions des brigades d’artillerie ennemis. Le sol recouvert de ces DCA l’arrivée des bombardiers ne fût d’aucune utilité au contraire, bien trop vulnérables ces derniers étaient à la merci des DCA qui étaient présentes en trop grande quantité. Le avions tombés un après les autres, alors que les carcasses fumantes des bombardiers se décomposaient au sol pendant plusieurs heures, les chasseurs britanniques eut l’ordre de rentrer aux portes avions après cette défaite humiliante et dévastatrice.
Au même moment les armées terrestres commencèrent la stratégie militaire, dont la partie aérienne était un réel échec. L’armée II et III arrivèrent l’une par le Nord et l’autre légèrement pas le Sud de façon à encercler sournoisement l’armée ennemis. La machine s’enclencha, l’Armée II et III encercla par l’arrière l’armée italienne ce qui obligea immédiatement les troupes italiennes à se regrouper. Attaquées par l'arrière, les troupes adverses sont surprises par la rapidité et la force de l’offensive, les deux armées (II et III) composées principalement de blindés se regroupèrent sur le centre de l’armée italienne celle-ci prit par surprise. De chaque côtés les tirs de chars et d’artillerie se succédèrent, l’armée italienne devait déjà se battre sur deux fronts, le cadre était tout à fait chaotique, pas une seconde ne s’écoulait sans que des cris d’agonie ou les échos ne retentirent dans le désert. C’est alors que l’Armée I composée de nombreuses brigades d’infanterie, arrivèrent rapidement et vivement par l’Est sur l’armée italienne prise déjà au piège où il régnait une grande confusion au sein de cette dernière car ses unités étaient dispersées et mal coordonnées.

Spoiler:

Le combat était violent, dans chaque camps, régnait une effroyable sensation de haine et de mépris et comme une sorte de vengeance pour les soldats britanniques, ce troisième front qui venait de s’ouvrir sur l’Armée italienne était le coup de grâce des britanniques.
Un renfort aérien italien intervenait dans cette bataille sanglante, les DCA britanniques devait être au maximum efficace ce qu’elles ne manquèrent pas de faire. La stratégie du marteau et de l’enclume avait fonctionnée à merveille. Nous vîmes l’armée italiennes fuirent vers l’Ouest malgrès les nombreux cadavres gisants au sol, et les nombreux prisonniers.
Les deux portes avions furent immédiatement rapatriés pour à Southampton.

Le Royaume-Uni demande humblement au Royaume d'Italie un arrêt immédiat des hostilités ! Nous vous laissons une chance d'entreprendre des négociations.

Pertes Italiennes : (à discuter avec Skavian)
Pertes britanniques : 34 200 soldats morts, 11 023 blessés, 81 chasseurs, 27 bombardiers, 70 autos-mitrailleuses, 95 chars, 35 obusiers, 15 DCA.

Spoiler:

par **PonchMan** Sam 10 Nov 2012 - 20:49

Estado Español

:mac:

Top Secret :mac:

Un Corps Expéditionnaire nommé la Legión del desierto (Légion du désert) va être envoyé en Libye et sera mis à disposition totale de l'armée italienne. Voici la composition de ce corps expéditionnaire:

Spoiler:

Fin du Top Secret :mac:

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